CONCEPTION ET REALISATION D ’ UNE APPLICATION WEB POUR GESTION DE P ROJETS DE...Madjid Meddah
L’objectif du projet est de concevoir et implémenter un système, en ligne, qui automatise
la gestion et l’affectation des projets de fin d’étude. Le système permettra aux enseignants de
proposer des thèmes pour les projets de fin d’études aux étudiants, ces derniers pourront
choisir ou modifier leurs choix. Le système permettra en outre d’automatiser l’affectation des
PFE aux étudiants, cette tâche se fait actuellement d’une façon totalement manuelle.
Mots-clés: application web, base de données, gestion des PFE
The goal of the project is to design and implement an online system that automates the
management and the assignment of graduation projects. The system will allow teachers to
propose their themes for graduation projects to students, who will be able to choose or modify
their choices. The system will also automate the assignment of the graduation projects to
students; this task is done currently in a manual way.
Keywords : Web Application, Data base, Graduation Project
Rapport PFE-Implémentation de la solution Dual-Homing Hassane Sennouni
Le rapport de mon stage de fin d'études chez Huawei Maroc, qui pour sujet : Implémentation de la solution Dual-Homing pour la diversification des liens uplinks du MSAN MA5600T au sein du réseau METRO de Maroc Telecom.
Présentation projet fin d'étude backup Tunisie TelecomDaoues Amine
Développement d'une application qui permet la sauvegarde, la restauration des contacts, SMS et fichiers (photos, musiques…) ainsi que la migration des donne es d’un mobile a un autre et ce en mode securise
Rapport (Mémoire de Master) de stage PFE pour l’obtention du Diplôme Nationa...Mohamed Amine Mahmoudi
Mon rapport de stage PFE pour l’obtention du Diplôme National de Master
MÉMOIRE DE MASTER
Présenté en vue de l’obtention du
Diplôme National de Master Professionnel en Sciences et Technologies
Mention : Informatique
Spécialité : Sécurité des Systèmes Informatiques Communicants et Embarqués
Conception et Réalisation d’une Application
Sécurisée de Gestion des Ressources Humaines
(VPN)Virtual Private Network : ETUDE COMPARATIVE ET REALISATION D’UN VPN MPL...BelgeKilem
Au début de l'Internet, la préoccupation majeure était de transmettre les paquets à leur
destination. Ensuite, des mécanismes inhérents à TCP ont été développés pour faire face aux
conséquences induites par les pertes de paquets ou la congestion du réseau. Mais depuis le
début des années 1990, la communauté des fournisseurs de service (ISP : Internet service
Provider) qui administrent l'Internet est confrontée non seulement au problème de croissance
explosive mais aussi à des aspects de politique, globalisation et stabilité du réseau.
Par ailleurs, outre ces différents aspects, apparaît une très forte diversification des services
offerts. Ainsi de nouvelles applications se développent sur le réseau : téléphonie,
vidéoconférence, diffusion audio et vidéo, jeux en réseau, radio et télévision en direct…
L’émergence des réseaux privés virtuels (VPN), nécessite également une différentiation de
services. La qualité de service de bout en bout apparaît, dans ce contexte, essentielle au succès
de ces applications. Avec l’arrivée de la technologie MPLS et les modèles de gestion de la
qualité de service (Diffserv et Intserv) une nouvelle approche est considérée (MPLS pour
l’augmentation des performances des équipements réseaux, les notions de trafic engineering et
les VPN et la gestion de qualité de service pour le traitement de la congestion, la classification
des trafics et la garantie de service).
la « convergence fixe mobile » ou « convergence fixe-mobile-internet », mariage des lignes fixes et mobile de l’abonné. La réalisation de la convergence fixe-mobile dans l’évolution des télécommunications apporte une multitude d’avantages pour l’abonné.
rapport de stage présentant les différents équipements de la chaîne de de transmission; énergie et une étude comparative entre les technologies de multiplexage en longueur d'onde CWDM et DWDM
La conception, l’élaboration et la mise à votre disposition de ce catalogue de formation va contribuer, nous en sommes certains, à l ’amélioration d ’une part des performances des travailleurs du secteur et d’autre part à apporter une réponse aux défis majeurs du secteur des TICS et TELECOMS.
Nous espérons que vous prendrez plaisir à suivre nos formations.
L'ÉDUCATION AVEC INTELLIGENCE ARTIFICIELLE ET LES DÉFICIENCES DE SON APPLICAT...Faga1939
Cet article vise à présenter comment l'intelligence artificielle peut être utilisée dans le développement de l'éducation avec les avantages et les risques liés à son utilisation, ainsi qu'à montrer les lacunes dans l'application de l'intelligence artificielle dans les processus pédagogiques au Brésil. Selon les mots de l'informaticien qui a inventé le terme, John McCarthy, l'intelligence artificielle est « la science et l'ingénierie permettant de produire des systèmes intelligents ». Il s’agit de la technologie utilisée pour que les machines se comportent comme des humains lorsqu’elles effectuent des activités manuelles, prennent des décisions, comprennent des données et même créent du contenu (innovation la plus récente). Les machines sont équipées de données et programmées pour en tirer des leçons, en divisant les informations en couches et en reconnaissant des modèles. Quels sont les avantages et les risques de l’intelligence artificielle dans l’éducation ? L'intelligence artificielle peut aider les enseignants à préparer des questions, à planifier les cours et à évaluer les performances des élèves. Pour l’étudiant, l’IA facilite la recherche et l’acquisition de connaissances. Développer la capacité à manier correctement cette technologie sera une autre tâche de l’enseignant dans le contexte de la culture numérique. Aujourd’hui, le rôle de l’enseignant n’est pas celui d’un simple transmetteur d’informations, mais plutôt celui d’un médiateur et d’un accompagnateur dans le processus d’apprentissage. L’intelligence artificielle peut apporter des améliorations au processus éducatif, mais elle comporte également des risques et des défis pour les établissements d’enseignement. On peut affirmer que l’intelligence artificielle apportera des avantages incommensurables aux établissements d’enseignement, à leurs dirigeants, aux enseignants et aux étudiants à tous les niveaux et qu’il existe des risques qui doivent être évités lors de son utilisation. De nombreuses universités dans le monde ne savent toujours pas quoi faire concernant l’utilisation de l’intelligence artificielle dans l’éducation et le Brésil présente des lacunes majeures dans l’application des outils d’intelligence artificielle dans l’éducation à tous les niveaux d’enseignement.
Cours d'algorithme et programmation algoboxVirus237
Bien sûr ! Le cours d'algorithme et de programmation est essentiel pour comprendre les bases de la programmation et développer des compétences en résolution de problèmes. Voici quelques points clés :
1. **Algorithme** :
- Un algorithme est une séquence d'instructions qui décrit comment résoudre un problème.
- Il prend des données en entrée, effectue un traitement spécifique et fournit des données en sortie.
- L'écriture algorithmique est universelle et indépendante du langage de programmation ou de la machine.
2. **Programme** :
- Un programme est une série d'instructions qui s'exécutent en séquence ou en parallèle (parallélisme matériel).
- Il implémente un algorithme et peut être exécuté par une machine.
3. **Notions de base en algorithmique** :
- Types de données et lien avec la machine.
- Notion de sous-programmes et lien avec la compilation.
- Qualité du nommage des variables, assertions, documentation, etc.
- Structures algorithmiques fondamentales : implantation des algorithmes dans un langage de programmation.
- Introduction au test unitaire, recherche d'éléments, parcours, tri, etc.
4. **Problèmes fondamentaux en algorithmique** :
- **Complexité** : Combien de temps un algorithme met-il pour atteindre le résultat escompté ? De quel espace a-t-il besoin ?
- **Calculabilité** : Existe-t-il des tâches sans algorithme ? Peut-on dire si une tâche a une solution algorithmique ?
- **Correction** : Peut-on être sûr qu'un algorithme répond au problème pour lequel il a été conçu ?
5. **Langage algorithmique** :
- Un exemple simple d'écriture algorithmique :
```
Algorithme NomAlgorithme {
ceci est un commentaire
}
Début
... Actions ...
Fin
```
Si vous souhaitez approfondir vos connaissances, je vous recommande de consulter des ressources telles que [ce cours](https://www.i3s.unice.fr/~map/Cours/DUT_API_TD_TP/C1-2_APIStructuresAlgorithmiquesdeBase.pdf) ou [ce tutoriel](https://algo.developpez.com/cours/). N'hésitez pas à poser d'autres questions ! 😊¹²³
Source : conversation avec Copilot, 30/06/2024
(1) COURS ALGORITHMIQUE ET PROGRAMMATION INFORMATIQUE - unice.fr. https://www.i3s.unice.fr/~map/Cours/DUT_API_TD_TP/C1-2_APIStructuresAlgorithmiquesdeBase.pdf.
(2) Les bases de la programmation et algorithme | Udemy. https://bing.com/search?q=cours+d%27algorithme+et+programmation.
(3) Meilleurs cours et tutoriels pour apprendre l'algorithmique. https://algo.developpez.com/cours/.
(4) Les bases de la programmation et algorithme | Udemy. https://www.udemy.com/course/les-bases-de-la-programmation-et-algorithme/.
(5) Cours d'algorithmique et programmation 1. http://www.cril.univ-artois.fr/~delima/files/teaching/cm-algo1.pdf.
Le serment de Strasbourg -linguistique2-Boudra Chifaechifaebd5
La présentation sur le Serment de Strasbourg explore en profondeur ce document historique,qui marque un tournant dans l'évolution de la langue française.Elle aborde le contexte historique du Moyen Âge et les luttes de pouvoir entre les descendants de Charlemagne.En mettant en lumière les conséquences linguistiques et politiques du serment,l'exposé souligne son rôle dans la transition du latin aux langues vernaculaires et l'émergence des identités linguistiques modernes en Europe.
1. République Tunisienne
Ministère de l’Enseignement Supérieur
Et de la Recherche Scientifique
Université de Sfax
Institut Supérieur d’Informatique
Et de Multimédia de Sfax
Rapport de stage PFA de
Licence
Big Data et Analyse de Données
Rapport de Stage d’été
Elaboré par : Wael Toumi
Spécialité : Science de l’informatique Big Data et
analyse des données.
Entreprise d’Accueil : Tunisie Télécom.
Inspection du réseau et relevé des
dérangements.
Année Universitaire : 2022-2023
2. 2
Remerciement
Au terme de ce travail réalisé dans la centrale de Tunisie Télécom Khezema Sousse, je tiens à
remercier vivement la direction régionale des télécommunications de Sousse qui veille à assurer
une formation solide.
J’ai l’honneur de présenter mes meilleures et ma profonde gratitude à mon encadrant Mr Achraf
Hraiech, Mr Med Ali Harbaoui et à madame Sihem Tebra pour son encadrement et ces aide
précieuse.
Je présente également mon dévouement et mes sentiments respectueux à mon Institut Supérieur
d’Informatique et de Multimédia de Sfax qui m’a accordé ce stage afin d’accomplir une
formation pratique fructueuse et qui m’a permis de faire un premier pas dans ma vie
professionnelle.
Que tous ceux qui ont contribué de près ou de loin à la réussite de mon stage trouvent ici
l’expression de mes sincères remerciements.
3. 3
Résumé
Ce rapport a été rédigé dans le cadre du stage de fin d’année pour l’obtention du diplôme de
licence en sciences informatique spécialité Big data et analyse de données.
L’objectif de ce stage est de développer les compétences en termes de réseau visant à détecter
les pannes sur les lignes d’abonnée et de reconnaitre les défauts coté client et coté opérateur.
4. 4
Liste des abréviations
ONT : Office nationale de télécommunication.
RTC : Réseau Téléphonique Commuté
RNIS : en anglais ISDN, Integrated Services Digital Network) : Réseau Numérique à
Intégration de Services
QoS : agit sur le trafic de façon qu'il soit transféré par un équipement réseau, comme un
routeur ou un commutateur, selon les comportements définis par les
applications qui en sont à l'origine.
QoE : représente l'ensemble des caractéristiques objectives et subjectives propres à satisfaire,
fidéliser ou donner confiance à un utilisateur.
ATM : Asynchrones Transfer Mode.
FAI : Fournisseur d’accès à Internet.
5. 5
I. Introduction : ----------------------------------------------------------------------------------------10
II. Présentation de Tunisie Télécom : ---------------------------------------------------------------11
1. Généralité : ----------------------------------------------------------------------------------------11
2. L’histoire de Tunisie Télécom :----------------------------------------------------------------11
3. Organigramme générale de L’entreprise : ----------------------------------------------------12
III. Les différents centres de Tunisie Télécom :--------------------------------------------------14
1. Les centres Internationaux :---------------------------------------------------------------------14
2. Les centres nationaux : --------------------------------------------------------------------------15
3. Les centres régionaux : --------------------------------------------------------------------------16
4. Les centres de commutation automatique :---------------------------------------------------16
5. Les centre de Transmission : -------------------------------------------------------------------16
IV. Présentation du CSC : ---------------------------------------------------------------------------17
1. Définition : ----------------------------------------------------------------------------------------17
2. Identification de L’ACTEL : -------------------------------------------------------------------17
V. Structure Hiérarchique d’un Réseaux de Lignes d’Abonnées (RLA) : ---------------------18
1. Définition : ----------------------------------------------------------------------------------------18
2. Hiérarchie d’un réseau Téléphonique :--------------------------------------------------------19
A. Central : --------------------------------------------------------------------------------------19
B. Le répartiteur générale (R.G) :------------------------------------------------------------20
C. Sous Répartiteur (S R) :--------------------------------------------------------------------23
D. Les points de concentration (P.C) : ------------------------------------------------------24
E. Les câbles : ----------------------------------------------------------------------------------24
VI. Les dérangements :-------------------------------------------------------------------------------26
1. Définition : ----------------------------------------------------------------------------------------26
2. Les types de dérangements :--------------------------------------------------------------------26
A. Isolement : -----------------------------------------------------------------------------------26
6. 6
B. Boucle :---------------------------------------------------------------------------------------26
C. Friture :---------------------------------------------------------------------------------------27
D. Inversion :------------------------------------------------------------------------------------27
E. Terre :-----------------------------------------------------------------------------------------27
F. Courant étranger :---------------------------------------------------------------------------28
3. Matériels utilisés par l’équipe d’intervention technique de Tunisie Télécom : ---------28
A. Moyen de transport : -----------------------------------------------------------------------28
B. Smart tablette : ------------------------------------------------------------------------------29
C. Application mobile :------------------------------------------------------------------------29
D. Combiné de Test : --------------------------------------------------------------------------29
E. Appareil de Test des débits : --------------------------------------------------------------30
F. Collection des pinces : ---------------------------------------------------------------------31
VII. Projet Nokia Siemens Networks MSAN : ----------------------------------------------------32
1. Introduction :--------------------------------------------------------------------------------------32
2. Présentation :--------------------------------------------------------------------------------------32
A. Projet IP-MSAN :---------------------------------------------------------------------------33
B. Cadre de L’IP MSAN (IP based on Multi Service Access Network) :--------------34
3. Architecture et principe de Fonctionnement de l’existant : --------------------------------35
A. Les équipements coté Client :-------------------------------------------------------------36
B. Les équipements coté Opérateur : --------------------------------------------------------36
4. La solution IP-MSAN :--------------------------------------------------------------------------37
A. Les différents types des MSAN(s) (hiX56XX) : ---------------------------------------38
B. Les détails de la migration : ---------------------------------------------------------------39
5. Conclusion :---------------------------------------------------------------------------------------40
VIII. Le système d’information géographique de Tunisie Télécom SIG :-------------------41
1. Définition du SIG :-------------------------------------------------------------------------------41
2. ESRI : ----------------------------------------------------------------------------------------------41
7. 7
3. Solutions ESRI pour les télécommunications (Etude de cas de Tunisie Télécom) : ---42
IX. Conclusion :---------------------------------------------------------------------------------------43
X. Bibliographie----------------------------------------------------------------------------------------46
8. 8
Figure 1:Organigramme de Tunisie Télécom. [3].................................................................... 12
Figure (2) : Les câbles sous-marin de Tunisie Télécom. ......................................................... 14
Figure (3) : Cable sous-marin SMW4...................................................................................... 15
Figure 4: Réseau téléphonique commuté. ................................................................................ 16
Figure 5: Réseaux et communications. .................................................................................... 17
Figure 6:ACTEL (Agence Commerciale de Télécommunication) .......................................... 18
Figure 7: Architecture du Réseau des lignes d’abonnées RLA................................................ 19
Figure 8:Central Tunisie Télécom............................................................................................ 20
Figure 9:R.G pour grand centre................................................................................................ 21
Figure 10:Réglette vertical avec les connecteurs. [4]............................................................... 22
Figure 11:Réglette horizontale avec les fils jarretière.............................................................. 22
Figure (12) : Sous répartiteur SR. ............................................................................................ 23
Figure 13:point de concentration.............................................................................................. 24
Figure 14:Les connecteurs ....................................................................................................... 25
Figure 15:Fils jarretière............................................................................................................ 26
Figure 16: Isolement sur 1 Fil .................................................................................................. 26
Figure 17: Isolement sur 2 fils.................................................................................................. 26
Figure 18:court-circuit des câbles réseaux............................................................................... 27
Figure 19:Combiné de Test...................................................................................................... 27
Figure 20:Contact d'un câble réseau avec la Terre................................................................... 27
Figure 21: Courant étranger entre les abonnées....................................................................... 28
Figure 22:Voiture pour le déplacement entre les unités de l'infrastructure réseau. ................. 28
Figure 23:Smart Tablette Android Honeywell......................................................................... 29
Figure 24:Application Workforce .apk. ................................................................................... 29
Figure 25:Combiné................................................................................................................... 29
Figure 26:SmartClass TPS ....................................................................................................... 31
Figure 27:Pince ........................................................................................................................ 31
Figure 28: Avancement des travaux de remplacement des SR par des IPMSAN et SR-
Optique. [4] .............................................................................................................................. 34
Figure 29:Architecture de la plateforme MSAN...................................................................... 35
Figure 30:Architecture du réseau MSAN................................................................................. 36
Figure 31: les différents HiX.................................................................................................... 38
9. 9
Figure 32: les couches de réseau entre DSLAM et MSAN...................................................... 39
Figure 33 : Système d'information Géographique SIG. ........................................................... 41
10. 10
En raison de l’importance accrue de la formation qui devient un outil nécessaire pour garantir
plus en détail du futur des employés à leur travaille, l’Institut Supérieur d’Informatique et de
Multimédia de Sfax – ISIMS ma donner la chance de s’intégrer dans la vie pratique à travers
un stage de 1 mois qui constitue une occasion pour connaitre de plus proche les services dans
le domaine de l’informatique et confronter les connaissances théoriques à l’exercice pratique.
Le choix s’est mis sur Tunisie Télécom - Direction régionale de Sousse dont le service est de
faciliter et d’assurer pour ces clients leurs télécommunications sous ses différents formes
(ADSL, vDSL, Fibre optique, fixe, GSM, etc.,).
Il s’agit donc d’un stage ouvrier dont le but est de découvrir en premier lieu le mécanisme
général du fonctionnement de l’entreprise, puis de s’approcher au monde de travaille en
l’acquisition d’un maximum de connaissances générale portant sur les outils des travaux, la
stratégie à appliquer, de contacter en proximité les ouvriers pendant leur tâche journalière, de
voir les sections de base et les fonctions essentielles de l’entreprise.
11. 11
Depuis l’antiquité, l’Homme n’a pas cessé de chercher les différents moyens pour faire
véhiculer le message à son correspondant et donc pour communiquer. Ainsi, l’être humain, à
travers des époques successives, a fourni ses efforts intellectuels aussi bien que physiques afin
de découvrir des méthodes de communications adéquates.
Au début du XXème siècle, une nouvelle révolution pour les télécommunications s’amorce,
celle de l’électronique. Cette époque est caractérisée par l’invention des composants et circuits
électroniques de base et de bonne qualité qui ont poussé les télécommunications vers les réseaux
informatique.
Ces évolutions ont donné naissance à d’autres technologies de communications telles que la
radiomessagerie, les téléphones mobiles et les réseaux de fibre optique et enfin Internet.
Cependant, l’ensemble de ces réseaux évolués utilise à la base un réseau très important pour
acheminer les données indépendamment du codage et de la nature des signaux : le Réseaux
Téléphonique Commuté ou RTC (réseau d’abonné) ainsi depuis la création de l’entreprise
Tunisie Télécom, le nombre de demande d’abonnements ne cesse de sur-croitre, plusieurs
cellules de productions exerce un travail convenable et spécifique pour accomplir une tâche
bien précise. Cela afin de satisfaire les exigences de sa clientèle.
Parmi ces cellules on distingue le Centre de Service Clientèle reconnu par l’abréviation CSC.
ONT (L’Office national des télécommunications) est créé à la suite de la promulgation de la
loi N°36 du 17 avril 1995. L’office a ensuite changé de statut juridique, en vertu du décret N°30
du 5 avril 2004, pour devenir une société anonyme dénommée « Tunisie Télécom ». [1]
Depuis sa création, Tunisie Télécom œuvre à consolider l’infrastructure des télécoms en
Tunisie, à améliorer le taux de couverture et à renforcer sa compétitivité. Elle contribue
également activement à la promotion de l’usage des TIC et au développement des sociétés
12. 12
innovantes dans le domaine des télécoms. En effet, la première ligne GSM est inaugurée le 20
mars 1998 par le président de la République. [2]
Tunisie Télécom se compose de 24 directions régionales, de 140 espaces TT et de plus de 13
mille points de vente privés. Elle compte dans ses rangs plus de 6 millions abonnés dans la
téléphonie fixe et mobile et elle emploie plus de 6000 agents et son chiffre d'affaires se monte
à 1,1 milliard de dinars en 2016.
En juillet 2006, il a été procédé à l’ouverture du capital de Tunisie Télécom à hauteur de 35%
en faveur du consortium émirati TeCom-DIG. Cette opération vise à améliorer la rentabilité de
Tunisie Télécom et à lui permettre de se hisser parmi les grands opérateurs internationaux. [2]
Par conclusion, l’opérateur historique de Tunisie joue un rôle important dans la propagation des
services de télécommunications en Tunisie.
Figure 1:Organigramme de Tunisie Télécom. [3]
Tableau 1: Abréviation de l'organigramme de L'entreprise.
13. 13
❖ Tableau 2 : Suite de L'abréviation de l'organigramme de
L'entreprise.
❖ Tableau 3 : Fonctionnement des unités fondamentale de
L'entreprise.
D.C. F D.C.R.H D.C.S. E DCCM
Dont le rôle est de
faire gestion
financière et que
la comptabilité de
Tunisie Télécom.
C’est une direction qui
focalise à la procédure de
recrutement, intégration et
formation du personnel, la
gestion administrative et
paie et la communication
interne.
Cette direction est destinée
à faire les études de
faisabilité, l’installation et
maintenance des réseaux
de Tunisie Télécom.
Est une direction
permettant de faire la
gestion des ventes lancée
les offres ainsi la
satisfaction des clients.
PDG DGA D.C. F D.C.C.M D.C.
R.H
D.C.S. E D.C.S. I
Président
Directeur
Général
Directeur
Général
Adjoint
Direction
Centrale des
Finances.
Direction
Centrale
Commerciale
et Marketing.
Direction
Centrale
Ressources
Humaines
Direction
Centrale
Solution
d'Entrepris
e
Direction Centrale des
systèmes d’informations.
D.C.S.C D.C.C. G D.C.W. I D.C.P.I. D D.C.O.M. R
Direction Centrale
Stratégie Corporate.
Direction
Centrale Contrôle
Général.
Direction
Centrale
Wholesale et
International.
Direction
Centrale de
Planification,
ingénierie et
déploiements.
Direction
Centrale des
opérations et
maintenances
Réseaux.
14. 14
Figure (2) : Les câbles sous-marin de Tunisie Télécom.
Il existe 3 centres Internationaux de Tunisie Télécom qui permettant de relier les réseaux
locaux de celui-ci à travers le monde entier par l’intermédiaire des câbles sous-marin
Internationale en fibre optique.
Rappelons que Tunisie Télécom a le monopole de gestion des 3 câbles sous-marins dont dispose
actuellement la Tunisie (SMW4, Keltra, Hannibal).
➢ Le câble internationale SMW4 est exploité par un consortium d’opérateurs
internationaux dont l'opérateur national, ce dernier soumis à des travaux de maintenance
le 01 décembre 2021 et ce projet contribuera à une grande amélioration des services
Internet fournis à ses clients conformément aux plus hauts standards Internationaux.
A savoir :
o SMW4(Sea-Me-We4) : dont le point de chute se trouve à Bizerte et relie la Tunisie à
Marseille. Il est entré en activité en 2005 et il a une capacité de 1280 Gb/s.
o Keltra et Hannibal : dont le point de départ se trouve à Kelibia.
15. 15
✓ Keltra premier câble sous-marin reliant la Tunisie à Trapani et dispose
d'une capacité de 3000 Gb/s.
✓ Hannibal reliant Kelibia à la ville italienne Mazara :
Ce câble vient pour renforcer le système des câbles souterrains internationaux de Tunisie Télécom
« L’ancien PDG de Tunisie Télécom, il a été annoncé l'entrée en exploitation, à partir du 2
décembre 2009, du premier câble sous-marin à fibres optiques à 100% tunisien baptisé
"Hannibal". D'une capacité initiale de 40 Gb/s, extensible à 3200 Gb/s. Ce câble sous-marin a
nécessité un investissement de près de 16 millions de dinars. "Hannibal" va permettre également
à la Tunisie de sécuriser ses connexions internationales, d'accroître l'attractivité de son offre
Internet, d'améliorer la fluidité de navigation sur les sites Internet mondiaux et de répondre au
mieux aux attentes des entreprises tunisiennes qui souhaitent développer leurs activités à
l'export. »
Figure (3) : Cable sous-marin SMW4.
Il existe 7 centres nationaux de Tunisie Télécom, ces différentes centres cert à réaliser
l’interconnexion entre les abonnées appartenant aux 24 directions régionales de la Tunisie.
La mise en place d'un câble sous-marin pour la Tunisie s'est imposée comme un choix
incontournable afin de pouvoir disposer de capacités de transmission évolutives et adaptées aux
besoins en communication de la Tunisie et à l'accroissement rapide du parc des lignes (ADSL
/ vDSL) pour l'Internet Haut débit fixe et mobile.
16. 16
Il existe 24 centres régionaux de Tunisie Télécom, permettant de relier les différentes abonnées
de la même région entre eux et dans un seul endroit.
C'est la partie centrale du réseau qui met en relation les abonnés. Donc la commutation est une
opération nécessaire à la téléphonie. Elle assure la connexion entre les différentes lignes
d’abonnées.
Aussi bien la création des nouvelles lignes téléphoniques, relevé les dérangements de lignes,
tester les lignes téléphoniques et création des lignes ADSL.
Les centres des commutations se divisent en 2 groupes :
➢ La Téléphonie fixe.
➢ La Téléphonie mobile dite GSM (Groupe Switching Mobile).
Figure 4: Réseau téléphonique commuté.
Servent à relier les centres de commutation automatique soit par faisceaux hertzien soit par des
fibres optiques qui sont en train de remplacer les anciens supports.
17. 17
Figure 5: Réseaux et communications.
Le centre de service clientèle (CSC) représente l’une des cellules de base de l’office nationale
de Télécommunication. En effet, il joue un rôle important dans la maintenance et l’entretien de
réseau appartenant au Région de Sousse.
Celui-ci assure la stabilité de réseau téléphonique par la répartition de type de dérangement en
plus que sa responsabilité de construction des nouvelles lignes soit téléphonique ou ADSL et il
permet une collaboration avec d’autres organismes et services est requise, tel que l’ACTEL et
SOTETEL.
ACTEL (L’Agence Commerciale de Télécommunication) est l’interface commerciale de
Tunisie Télécom et ses clients qui se charge de la satisfaction de sa clientèle à travers
l’ensemble de ses offres en matière de télécommunication en particulier la téléphonie fixe,
GSM et transmission de données. Elle représente un lieu de contact privilégié car son rôle est
défini par la coordination entre le centre technique et les différents abonnés en cas de nouvelle
18. 18
installation, modification, renumérotation, cession, installation provisoire, résiliation sur
demande, résiliation d’office.
Figure 6:ACTEL (Agence Commerciale de Télécommunication)
Le réseau local d’abonné est un ensemble d’éléments qui relie la poste Téléphonique au
commutateur de rattachement. La poste téléphonique d’abonnée étant en permanence alimenté,
par le commutateur auquel il est rattaché, en courant continu. L’échange de donnée(signaux)
entre la centrale et l’abonné fait largement appel aux possibilités offertes par cette alimentation,
et plus précisément la variation de cette alimentation.
Ce réseau doit être bien organisé et bien exploité de telle sorte qu’un abonné puisse échanger
facilement des communications (envoie / réception).
19. 19
Figure 7: Architecture du Réseau des lignes d’abonnées RLA.
A. Central :
C’est la partie centrale du réseau qui regroupe tous les composants fondamentaux du réseau et
permettant de mettre en relation les abonnées. Donc La commutation est une étape très
importante pour faire une communication (téléphonique, fax, Internet…) et elle joue un rôle
fondamental dans le réseau de télécommunication.
L’autocommutateur ou le commutateur automatique est la partie intelligente du réseau
téléphonique. Il est relié directement au répartiteur général. Il remplace le rôle de l’opératrice
auparavant qui fonctionne d’une façon manuelle. Il assure la fiabilité et la fidélité de toutes les
communications entre les abonnés.
En plus, il offre plusieurs avantages et plusieurs options soient :
➢ Prélèvement du compteur de l’abonné.
➢ Surveillance de l’état des lignes connectées.
➢ Manifestation par une alarme lors de détection du défaut
➢ Simplicité de localisation du niveau du défaut ou d’un fonctionnement anormal.
20. 20
➢ Facilité de l’établissement et de la coupure des connexions dans le réseau d’abonnés.
➢ Précision de la façon dont l’appel doit être traité
➢ Taxation des communications selon des options activées dès le début et qui peuvent être
modifiées tout le temps.
➢ Quantification automatique du trafic de communication.
➢ Possibilité d’identification de l’agent responsable de toute opération effectuée au niveau
du commutateur puisque chaque personne n’a la possibilité d’accès qu’après la saisie
du mot de passe pour pouvoir manipuler les logiciels assurant le fonctionnement du
commutateur.
Figure 8:Central Tunisie Télécom.
B. Le répartiteur générale (R.G) :
✓ Définition :
Répartiteur général (RG) est l’interface entre le central et le réseau local des abonnés. Il est
situé dans le central téléphonique (aussi appelé NRA pour nœud de raccordement abonné ou
main distribution frame). C'est l'équipement dans lequel se font toutes les connexions entre le
réseau filaire desservant les clients d'un opérateur de télécommunications (la boucle locale) et
les infrastructures des opérateurs (voix, données ou images).
21. 21
✓ Composition :
Figure 9:R.G pour grand centre.
Un R.G est constitué de :
➢ Tète verticale (réglettes verticales) : reliées par des câbles à tous les clients de la zone
desservie. Chaque réglette se compose de 16 lignes dont chaque ligne est dite amorce.
Chaque amorce contient 7 paires, ce qui donne pour une réglette 112 paires.
Une réglette verticale représente un abonné. Il suffirait d'enlever un connecteur (bleu ou
orangé sur les photos) pour qu'un client soit coupé de sa ligne téléphonique. Certains
plots de connecteurs sont libres soit pour servir de connecteurs de secours, soit parce
que le connecteur ou la ligne liée à ce connecteur présente une défaillance importante,
soit encore parce que la ligne a été résiliée par l'abonné.
A partir d'un bloc vertical, la ligne téléphonique continue son périple vers les réglettes
horizontales. Les paires de fils de cuivre qui relient les différentes installations du central sont
nommées jarretières. Les deux fils de cuivres ont un code couleur spécifique :
• Blanc et Rouge : la ligne est une ligne RTC classique.
• Blanc et Bleu : la ligne est une ligne avec de ADSL.
• Orange et noir : la ligne est une ligne RNIS.
22. 22
Figure 10:Réglette vertical avec les connecteurs. [4]
➢ Tète horizontale (réglettes horizontales) : Permettant de relier les numéros
d'équipement branché à la centrale de commutation où aboutissent les câbles de
raccordement des équipements individuels, chacune des réglettes ayant plusieurs
modules formés par des branches métalliques.
Les réglettes horizontales représentent une partie des services : un ensemble de blocs
pour les filtres, un ensemble de blocs pour le RTC et un ensemble pour l'ADSL.
Lorsque l'on a qu'une ligne RTC, la jarretière est connectée directement sur un plot
RTC. Une ligne avec l'ADSL sera connectée à un plot filtre tandis qu'une ligne ADSL
avec dégroupage total ou en ADSL Nu sera directement connectée à un plot ADSL.
Si le connecteur n'est pas relié, seul le service correspondant (filtre, ADSL et RTC)
sera coupé.
.
Figure 11:Réglette horizontale avec les fils jarretière
23. 23
C. Sous Répartiteur (S R) :
Figure (12) : Sous répartiteur SR.
✓ Définition :
Le sous répartiteur (SR) est une armoire implantée sur la voie publique, situé entre le câble de
distribution et le câble de transport ou entre 2 câbles de distributions.
C’est un organe de raccordement qui relie le répartiteur général (R.G) au PC. Et à l’intérieur
de celui-ci que seront éclatés les câbles de grande capacité en câble de capacité inférieure grâce
aux fils jarretières.
✓ Composition :
Il est formé par une série de têtes verticales (transport et distribution), ces têtes sont reliées par
des fils jarretières analogues à ceux utilisées au RG permettant la liaison entre la partie réseau
de transport à celle de la distribution.
✓ Rôle et importance :
Optimisation des
investissement
Diviser les extensions en distribution
et transport.
C’est le point de localisation
des défauts coté distribution
Tableau 4: Rôle de SR.
24. 24
D. Les points de concentration (P.C) :
✓ Définition :
Le point de concentration (PC) est un boitier qui réunit une petite dizaine de lignes d'abonnés.
C’est un point de connexion de 7 lignes de branchements sur des câbles de distribution de
capacité de 8 paires (une paire réserve). Il permet la bonne organisation des lignes de
branchements et il facilite les opérations de maintenance. D’ailleurs il permet aussi de localiser
les défauts soit côté abonné soit côté sous répartiteur.
Figure 13:point de concentration.
E. Les câbles :
✓ Définition :
Ils permettent de raccorder le poste téléphonique de l’abonné au commutateur et précisément
la réglette verticale du répartiteur général RG. Ils assurent l’acheminement des communications
d’un point à un autre à travers le réseau.
Les câbles peuvent être classés suivant :
• La capacité : on distingue les câbles à une paire, 4, 8, 14, 28, 56, 112, 224, 448, 896,
1792, 2688 paires.
• Leur mode de pose : aérien ou souterrain.
✓ Les types des câbles :
(1) Les câbles de jonction :
Ce sont les câbles de grande capacité qui relient les centraux entre eux.
25. 25
(2) Les câbles de Transport :
Ces câbles relient les sous répartiteurs SR au répartiteur général RG, et qui ayant des capacités
importantes allant de 112 paires jusqu’à 2688 paires ; ces câbles sont généralement installés
sous terrain.
(3) Les câbles de liaison :
Les câbles de liaison se trouvent entre deux sous répartiteur SR.
(4) Les câbles de distributions :
Les câbles de distribution relient les sous répartiteurs SR au point de concentration PC et ayant
une capacité moins importante, ils sont composés des câbles multi paires tels que les câbles 7,
14, 28, 56 et peuvent atteindre jusqu’à 224 paires. Ils sont aussi utilisés en cas de distribution
directe au voisinage du central dans un rayon inférieur à 600 mètres.
(5) Les câbles de branchement :
Ce sont des lignes bifilaires individuelles permettant de relier le point de concentration PC au
poste de l’abonné.
(6) Les connecteurs :
Ce sont des dispositifs permettant de connecter 2 fils conducteurs.
(7) Les jarretières :
Constituée de deux fils conducteurs torsadés et présentant une certaine souplesse. Elle assure
la liaison entre les équipements de commutation aux conducteurs des lignes et assure aussi un
rôle de protection et de coupure. En effet, il permet de faire des essais et des mesures, elle
rend possible la conservation du même numéro à un abonné changeant de domicile dans le
secteur et ce par mutation de jarretières.
Figure 14:Les connecteurs
26. 26
Figure 15:Fils jarretière.
Un dérangement est tout défaut qui perturbe le fonctionnement normal des lignes
Téléphonique. Pour donner suite à certains accident naturels (pluies, vent, etc…) ou un
endommagement accidentel par un citoyen d’un câble ou d’un poteau.
On peut rencontrer plusieurs types de dérangement :
A. Isolement :
C’est une discontinuité de la ligne d’abonnée dû à une coupure accidentelle d’un câble, donc le
courant n’atteint pas l’appareil de l’abonné.
Figure 17: Isolement
sur 2 fils
B. Boucle :
C’est un court-circuit de la ligne d’abonné dû à un défaut de l’installation chez l’abonné ou le
contact entre les deux fils du câble de réseau. Il ne se produit alors ni émission ni réception sur
cette ligne.
Figure 16: Isolement sur 1 Fil
27. 27
Figure 18:court-circuit des câbles réseaux.
C. Friture :
Le son au niveau du combiné n’est pas clair à cause d’un mauvais contact produisant des
signaux parasites.
Figure 19:Combiné de Test.
D. Inversion :
Lors du raccordement des câbles, deux paires d’abonnés peuvent être inverses donc l’appel
destine au premier est reçu par le deuxième et vice-versa.
E. Terre :
Un contact avec la terre alors on a une fuite du courant et une infiltration d’eau et d’humidité
au niveau d’une épissure.
Figure 20:Contact d'un câble réseau avec la Terre.
28. 28
F. Courant étranger :
Qui vient s’additionner au courant de conversation ce qui cause un mélange avec une autre paire
et une interférence de communication entre deux ou plusieurs abonnés et engendre la diaphonie.
Figure 21: Courant étranger entre les abonnées.
A. Moyen de transport :
Figure 22:Voiture pour le déplacement entre
les unités de l'infrastructure réseau.
29. 29
B. Smart tablette :
C. Application mobile :
D. Combiné de Test :
Figure 25:Combiné
Figure 24:Application Workforce .apk.
Figure 23:Smart Tablette
Android Honeywell.
30. 30
E. Appareil de Test des débits :
✓ Présentation :
Outil tout-en-un pour l'installation de services haut débit, y compris cuivre, ADSL 1/2/2+, WiFi,
coaxial, HPNA, fibre, données IP, VoIP et test vidéo IP.
Outil tout-en-un qui teste entièrement le réseau d'accès (cuivre, fibre, POTS, coaxial, HPNA et
ADSL2+/VDSL2, y compris les paires vectorielles ou liées) ainsi que les services à large bande
(données, VoIP et vidéo IP) afin que les techniciens puissent corrélez et résolvez rapidement
les problèmes de service triple play avec les causes potentielles de la couche physique. Le
testeur JDSU SmartClass TPS (Triple Play Services) aide les techniciens sur le terrain qui
déploient des réseaux et des services d'accès à large bande à fournir une infrastructure d'accès
en cuivre vierge qui peut prendre en charge les services triple play et répondre aux critiques de
qualité de service (QoS) et de qualité d'expérience (QoE) conditions.
Cet outil de test DSL tout-en-un peut tester les lignes d'abonnés numériques en cuivre, en fibre,
HPNA, asymétriques et à très haut débit, y compris les données IP (Internet Protocol)
vectorielles ou liées VDSL2, la voix sur IP (VoIP) et la vidéo IP en toute simplicité. Résultats
réussite/échec et analyse détaillée des problèmes liés à la couche physique et application.
Les applications de test automatisé OneCheck et VideoCheck à un bouton aident les techniciens
à réduire considérablement les temps de test et à améliorer la qualité globale. Le SmartClass
TPS vérifie la santé physique de la boucle d'accès en cuivre, les performances de la ligne
d'abonné numérique (DSL) et la QoS/QoE des services triple play pour s'assurer que les
techniciens sur le terrain ont terminé avec succès le travail d'installation et de réparation. Les
opérateurs et les prestataires de services peuvent localiser et réparer plus rapidement les pannes
et ainsi garantir leur qualité de service.
✓ Avantages :
• Réduisez les erreurs répétées, économisez de l'argent avec des tests complets dans un
outil tout-en-un.
• Réduisez de moitié les temps de test pour les services xDSL et triple play avec
OneCheck™.
• Évitez la complexité des tests de cuivre avec CableCheck™ à un seul bouton.
31. 31
• Gagnez du temps en utilisant SmartIDs™ pour dépanner tout un réseau coaxial
multipoint en un seul test.
• Améliorez l'efficacité globale des techniciens avec des applications mobiles et des tests
simplifiés à l'aide d'un seul bouton.
✓ Applications :
• Réseaux DSL et services triple play.
• Réseaux Wi-Fi et coaxiaux domestiques.
• Flux de diffusion et de VoD, y compris VMOS.
• Flux de paquets VoIP.
• Connectivité de données IP.
F. Collection des pinces :
Figure 26:SmartClass TPS
Figure 27:Pince
32. 32
Dans le cadre de la politique de la migration vers le « tout IP », les opérateurs fixes et mobiles
essayent de changer l’infrastructure existante vers une autre possédant des équipements à cout
réduit et à valeur ajoutée. Ce qui est le cas dans le projet de Tunisie Télécom, qui à travers le
projet IP-MSAN met en exécution progressive la politique de modernisation de leur réseau en
gardant les mêmes services et en intégrant de nouveaux services à haut débit tel que VDSL.
C’est dans ce contexte qu’on était amené à assimiler les aspects techniques du projet IP-MSAN
et de concevoir une configuration des services ADSL, vDSL et POTS dépendant à la demande
de la clientèle de Tunisie Télécom.
Nokia Siemens Networks (NSN) est une coentreprise née de la fusion des divisions Siemens
Networks de Siemens AG et Nokia Networks Busines de Nokia. La nouvelle société est créé
officiellement le 1er avril 2007. D'après les chiffres d'affaires cumulés des deux anciennes
divisions, la nouvelle entité ainsi crée devenait la 2ème Entreprise pour les infrastructures
mobiles, et la 3ème pour les infrastructures fixes.
Depuis sa naissance, NSN n'a qu'un seul intérêt : transformer l'architecture réseau complexe
vers une architecture réseau simplifiée grâce à la mise en œuvre de solutions innovantes,
respectueuses de l'environnement et permettant une croissance rapide.
Effectivement, NSN a réussi à proposer plusieurs solutions et à achever divers projets et
parmi les solutions offertes par NSN, on peut citer :
La convergence des réseaux fixes, qui propose aux clients de nouveaux services qui leurs
assurent d'importants revenus, tout en maintenant la rentabilité de leurs réseaux et systèmes.
Les clients de NSN sont notamment des opérateurs de réseaux fixes, mobiles, hybrides ainsi
que des fournisseurs de services établis ou nouveaux.
33. 33
A. Projet IP-MSAN :
Le Groupe Tunisie Télécom s'oriente vers l'unification de l'ensemble des réseaux existants
(fixe, données et internet) pour aboutir à une offre dite Triple Play, qui se fera via une
transmission IP.
Il vise offrir aux clients un meilleur service et à moindre coût grâce à un réseau qui permettra
une convergence des services Multimédia (voix, données, vidéo). Il a, en effet, Tunisie
Télécom est presque fini de changer tous les sous répartiteur (SR) par une nouvelle
génération d'équipements dites IP MSAN (Nœuds d'Accès Multi Services) et SRO (sous
répartiteur optique).
Ce projet a commencé par la modernisation du réseau du transit international, puis la
modernisation du réseau de transit national et aujourd'hui la modernisation du réseau d'accès,
le dernier point entre le client final et l'équipement le plus proche.
Au cours de la période de mon stage au sein de la DRTS (Direction Régionale des
Télécommunications de Sousse), j’ai passé plus de temps avec l’équipe d’intervention
technique de Tunisie Télécom (l'équipe responsable des solutions des réseaux publics). C'est
ainsi que j'ai participé aux différentes phases du projet ainsi que l’inspection du réseau par le
test des lignes d’abonnées, l’installation des nouvelles abonnées, le suivie et la mise en service
des équipements POTS et ADSL / vDSL fournis par NSN.
34. 34
Figure 28: Avancement des travaux de remplacement des SR par des IPMSAN et SR-
Optique. [4]
B. Cadre de L’IP MSAN (IP based on Multi Service Access Network) :
IP-MSAN est un dispositif généralement installé dans un central téléphonique qui relie les
lignes téléphoniques des clients à la base réseau, pour fournir téléphonique, RNIS (un Réseau
Numérique à Intégration de Services, en anglais ISDN), et à large bande tels que DSL
(Digital Subscriber Line) à partir d’une seule plateforme.
Elle présente ainsi les avantages suivants :
• Optimisation des ressources Le réseau IP utilise un transfert de paquets, ainsi
l’optimisation des ressources par rapport aux solutions de
types commutation de circuits.
• Cout de transport presque
nul
Grace a l’intégration de la téléphonie parmi de nombreuses
autre applications, le cout de transport devient pratiquement
nul. Le réseau permettant d’effectuer le transport est le réseau
cœur MPLS/IP, qui effectue tous les transports de données.
Les opérateurs, qui étaient auparavant obligés de maintenir
au moins deux réseaux, celui de téléphonie et celui de
données, n’en ont plus qu’un seul à maintenir.
• Services exclusifs Certains services sont propres aux réseaux IP, ne nécessitent
aucune réservation de ressources, à la différence du réseau
RTC.
• Disparition des
commutateurs locaux
La gestion de téléphone depuis le réseau de l’opérateur
(système centraux). Donc des solutions intermédiaires,
comme le PBX-IP permettent de passer petit à petit des
circuits numériques au liaison paquet IP.
35. 35
Figure 29:Architecture de la plateforme MSAN.
• PSTN = RTC : Réseau Téléphonique Commuté.
• Softswitch (Commutateur Logiciel) : Ce sont des passerelles qui permettent aux
différents protocoles et des logiciels d'interagir les uns avec les autres.
• OLT (Optical Line Termination) : c’est l'équipement de terminaison, côté réseau,
assurant l’interface avec les fibres dans les réseaux FTTH en fibres optiques ; il est
connecté à un ou plusieurs réseaux de distribution optique passifs.
• FTTH (Fiber To The Home) : Fibre optique jusqu'au domicile.
• Splitter : un dispositif de réseau passif utilisé pour diviser un signal entrant en plusieurs
signaux similaire à un système de transmission par câble coaxial.
• HGW (Home GateWay) : convertisseur de connexion entrante (câble coaxial, ligne
téléphonique, fibre optique ou autre) en connexion Ethernet, qui permet à un routeur
Wi-Fi de se connecter à Internet.
Avant le déploiement du MSAN, les fournisseurs de télécommunications ont typiquement une
multitude d’équipements distincts, y compris DSLAM pour fournir différents types de services
aux clients. Intégration de tous les services sur un seul nœud, qui généralement retours à tous
les flux de données sur IP ou ATM peut être plus rentable et peut offrir de nouveaux services
aux clients plus rapidement qu’auparavant.
La figure suivante présente l’architecture du réseau existant.
36. 36
Figure 30:Architecture du réseau MSAN.
A. Les équipements coté Client :
Afin d’avoir une connectivité au réseau Internet, l’abonné doit être muni d’une ligne
téléphonique analogique située dans la zone de couverture de la ligne ADSL (4 à 6 Kms du
répartiteur de l’opérateur). En plus, il doit disposer d’un filtre et d’un modem.
o Filtre :
C’est un boitier se trouvant sur la prise du téléphone qui permet de séparer les données internet
numériques à haut débit, de la voix des appels téléphoniques.
o Modem :
Le modem est le périphérique utilisé pour transférer des informations entre plusieurs
ordinateurs à travers des lignes téléphonique. C’est l’acronyme d’un modulateurs /
démodulateurs.
B. Les équipements coté Opérateur :
✓ DSLAM (Digital Subscriber Line Access Multiplexer) :
Dans la centrale téléphonique, l’ensemble des modems et des filtres est concentré au niveau du
DSLAM (multiplexeurs d’accès ADSL), chaque DSLAM couvre un nombre de lignes ADSL
qui sont situés dans la zone couverte par la centrale. Le DSLAM récupère les données émises
par les utilisateurs. Les lignes des abonnés arrivent sur un répartiteur, qui permet de connecter
l’utilisateur au commutateur téléphonique.
37. 37
✓ BRAS (Broadband Remote Access Server) :
Le BRAS est un équipement d’accès au service. Cet équipement assure l’interconnexion entre
le DSLAM d’un réseau xDSL et le réseau d’un fournisseur d’accès à Internet (FAI).
Il a comme rôle de :
• Réunir le trafic en provenance de DSLAM.
• Terminer les sessions PPP (PPPoE, PPPoA).
• Router le Trafic vers le réseau FAI.
✓ RADIUS (Remote Authentification Dial-In User-Server) :
Le protocole radius est un protocole d’authentification standard. Son fonctionnement est basé
sur un système client / serveur chargé de définir les accès d’utilisateur distant à un réseau. Ce
dernier est connu par le protocole AAA (Authentification, Autorisation, Accounting).
• Authentification : Identification des abonnées.
• Autorisation : Attribution des droits d’accès et des profils des abonnées.
• Accounting : La préparation des statistiques (date de connexion, sites visité,
facturation).
Le protocole Radius repose principalement sur un serveur (serveur radius), relié à une base
d’identification et un client Radius appelé NAS (Network Access Server). C’est l’intermédiaire
entre l’utilisateur final et le serveur.
Dans cette solution, et pour répondre aux besoins en services d’accès, NSN propose :
• IP-MSAN hiX56xx (hiX5625, hiX5630, hiX5635) : Offre des capacités différentes
selon les besoins du site. Les châssis de hiX peuvent contenir de différents types des
cartes de xDSL et de voix.
• hiD6615 : un Switch d’agrégation qui permet de collecter plusieurs MSAN et de les
réunir dans un unique lien de transmission surtout dans les sites géographiquement
distants.
• Metro Ethernet Network : un réseau purement Ethernet se trouve au niveau de la
couche 2 du modèle OSI. Il permet l’acheminement des paquets (voix et données) à
38. 38
travers le réseau public. La voix et les données peuvent exister sur le même réseau ou
être séparés sur 2 réseaux distincts.
• Media Gateway (MG) : est un équipement qui a pour rôle d’assurer la gestion
(détection des erreurs et disponibilité), d’interconnecter 2 réseaux distincts et de
convertir un réseau d’accès vers un réseaux IP et inversement.
• Media Gateway Controller (MGC) : est un serveur de signalisation qui a pour rôle
de :
✓ Echanger les messages de signalisation transmis par la passerelle de
signalisation et de les traduire.
✓ Faire dialoguer les terminaux 11.248, 11.323, SIP et MGCP avec les serveurs
d’application pour fournir les services convenables.
✓ Réserver des ressources pour le MG et de contrôler ses connexions internes.
A. Les différents types des MSAN(s) (hiX56XX) :
Figure 31: les différents HiX.
Les hiX 5625/30/35 présente la famille des IP-MSAN qui est adapté pour une utilisation dans
un environnement intérieur ou bien extérieur. Elle présente les avantages suivants :
▪ Support d’une bande passante importante et suffisante pour permettre les services
HDTV/VoD.
▪ Support de tous les types DSL : VDSL2, ADSL2+, SHDSL.
▪ La solution VoIP intégré : H.248 et SIP sur le même matériel.
▪ Exploitation fiable du réseau et fourniture de service fiable.
▪ Prestation de services de bout en bout.
▪ Sécurité : authentification, chiffrement, Vérification d’intégrité et contrôle d’accès.
39. 39
B. Les détails de la migration :
La migration vers le tout IP passe par des phases touchantes les différentes couches du réseau.
Figure 32: les couches de réseau entre DSLAM et MSAN.
✓ Transformation au niveau de la couche d’accès :
L’architecture classique se base sur l’équipement DSLAM qui, dans les anciennes installations,
était de technologie ATM avec un équipement TDM pour la voix, mais afin d’assurer le
transport IP, une transformation a eu lieu consiste à remplacer le DSLAM par un MSAN qui
peut jouer le rôle de DSLAM et du TDM en même temps.
✓ Transformation au niveau de la couche transport :
Cette transformation consiste dans l’évolution des réseau actuels vers un réseau IP multiservices
et à haut débit. Cette dernière vise à véhiculer tous les médias :
40. 40
Données, voix, vidéo sur un même réseau de paquets. Le choix se porte sur un cœur réseau IP
au niveau de la couche transport afin de donner au réseau IP des mécanisme de qualité de
services.
✓ Transformation au niveau de la couche contrôle :
Le MGC ou Softswitch est un équipement appartenant à la couche de contrôle. Il a pour rôle
de :
▪ Gérer la logique d’appels.
▪ Offrir la signalisation du contrôle.
▪ Décider quel services un usager va recevoir.
▪ Aider à la négociation des paramètres caractéristique de médias.
▪ Gérer certaines ressources.
▪ Controller le média GateWay au niveau de la MSAN.
✓ Transformation au niveau services :
La combinaison de la large bande que garantie la connexion xDSL et les évolutions de la couche
transport facilitent le développement et le lancement de nouveau services (Voix, Vidéo, Audio).
Tout au long de ce chapitre, nous avons présenté l’architecture réseau actuelle et nous avons
détaillé les étapes à suivre pour assurer l’adaptation de l’architecture existante à une architecture
qui consiste à combiner les réseaux fixes. Une telle architecture se base sur une solution «
purement IP » qui introduit une flexibilité au niveau transport. Cette solution est conforme à
toute architecture de réseau (PSTN, xDSL).
41. 41
Un système d'information géographique ou SIG est un système d’information conçu pour
recueillir, stocker, traiter, analyser, gérer et présenter tous les types de données spatiales et
géographiques.
Dans un sens plus général, le terme de SIG décrit un système d’information qui intègre, stocke,
analyse et affiche l’information géographique. Les applications liées aux SIG sont des outils
qui permettent aux utilisateurs de créer des requêtes interactives, d’analyser l’information
spatiale, de modifier et d’éditer des données par l'entremise de cartes et d’y répondre
cartographiquement. La science de l’information géographique est la science qui sous-tend les
applications, les concepts et les systèmes géographiques.
Figure 33 : Système d'information Géographique SIG.
ESRI [5] (Environmental Systems Research Institute) est une société américaine éditrice de
logiciels de systèmes d'information géographique et elle développe le système ArcGIS. Ce
système est composé de différentes plateformes qui permettent aux utilisateurs SIG, qu'ils
soient bureautiques, web, ou mobiles, de collaborer et de partager l'information géographique.
42. 42
✓ Problématique :
Tunisie Télécom fait face à de nouveaux enjeux pour augmenter ces revenus. Les services
Triple Play offrent de nouvelles opportunités mais amènent aussi la concurrence là où il n’y
en avait pas. Aujourd’hui, outre la question de la couverture géographique, cette entreprise a du
mal à garder l’avantage car la compétition est forte et les produits en évolution constante. Elles
ont besoin d’une approche intégrée qui permette une meilleure prise de décision à partir de
résultats mesurables, tels que la croissance rapide du marché, une réduction des coûts et une
meilleure satisfaction du client.
Le SIG offre un aperçu global de l’activité ; il aide les entreprises à gérer leurs réseaux de
télécommunications, à intégrer des données marketing, d’exploitation d’infrastructure et de
gestion de clients.
43. 43
Par exploitation de ArcGIS, plusieurs indicateurs de performance clés (KPI) et points faibles
ont été définis principalement dans le parcours client du haut débit fixe. Ceux-ci comprenaient
le traitement manuel de plusieurs activités dans le cycle de vie du client et le manque de SLA
(Service-Levels Agreement) et d'OLA entre les équipes de première ligne et techniques,
entraînant de longs délais de livraison et de réparation.
✓ Solutions :
Pour relever ces défis, Tunisie Télécom a déployé ArcGIS Enterprise comme un écosystème
complet pour ses opérations. Cela a fourni aux équipes une base puissante à exploiter lors de la
création d'applications Web et de cartes spécialement conçues à cet effet et de l'utilisation
d'applications mobiles de bureau et de terrain prêtes à l'emploi, telles qu'ArcGIS Workforce,
ArcGIS Collector ou ArcGIS Field Maps.
✓ Résultat :
Grâce à l'intégration et au déploiement d'ArcGIS Enterprise comme base des opérations,
Tunisie Télécom a eu un impact positif sur ses objectifs comme suit :
➢ La satisfaction globale des clients lors de la passation de commandes en ligne pour le
haut débit fixe est passée de 89 % à 95 %.
➢ Le temps nécessaire pour évaluer l'état de fonctionnement des emplacements des clients
est passé d'une moyenne de 50 heures à quelques minutes seulement.
➢ Le temps de connexion est passé de plus de trois jours à moins de 24 heures.
89,5
95
TAUX DE SATISFACTION DES
CLIENTS ET PASSATION DES
DEMANDES EN LIGNES
Satisfaction globale
des clients.
Avant Après
99%
1%
Avant
Après
Le Temps nécessaire
75%
25%
Temps de
connexion
Avant
Après
44. 44
Ce rapport est le résultat des travaux réalisés au cours de la période de mon stage au sein de
centrale Tunisie Télécom- Khezema Sousse, qui m’a présenté une occasion profitable pour
appliquer mes compétences et affronter la vie professionnelle.
Je voudrais bien dire que ce stage d’ouvrier m’offre la possibilité d’avoir une idée assez
complète sur les différentes activités et taches effectuées par l’équipe d’intervention technique
de Tunisie Télécom.
En totalité, je peux conclure que ce stage à été bénéfique sur plusieurs niveaux, surtout en ce
qui concerne ma tentative d’adaptation avec le milieu professionnel du travaille en
télécommunications, et aussi le mélange magique que j’ai obtenu par ce que j’étais en train
d’étudier à l’institut supérieur d’informatique et de multimédia de Sfax et ce que j’ai touché en
pratique.
46. 46
[1
]
m. o. c. t. Republic Of Tunisia, «Société Nationale des Télécommunications « Tunisie
Télécom »,» [En ligne]. Available:
https://www.mtc.gov.tn/index.php?id=428&L=2&uid_etab=13.
[2
]
T. Télécom, «A Propos de TT,» [En ligne]. Available:
https://www.tunisietelecom.tn/Fr/Particulier/A-Propos/Entreprise.
[3
]
T. Télécom, «Organisation,» [En ligne]. Available:
https://www.tunisietelecom.tn/Fr/Particulier/A-Propos/Organisation.
[4
]
G. photo, «Réglette vertical,» [En ligne]. Available:
https://lafibre.info/images/orange/201302_orange_fibre_16.jpg.
[5
]
M. Aouadi, «LinkedIn,» 5 12 2022. [En ligne]. Available:
https://www.linkedin.com/feed/update/urn:li:activity:70003699614371676
16/.
[6
]
wikipedia, «esri,» [En ligne]. Available: https://fr.wikipedia.org/wiki/ArcGIS.
[7
]
S. n. d. Télécommunications, «Office nationale des Télécommunications.,» [En ligne].
Available: https://www.mtc.gov.tn/index.php?id=428&L=2&uid_etab=13.
[8
]
e. france, «solution esri pour les télécommunications,» [En ligne]. Available:
https://www.esrifrance.fr/documents/sig_telecom.pdf.