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Cette activité permet de résoudre plusieurs problèmes en simultanée et de proposer plusieurs solutions possibles. Elle permet également d’explorer différentes possibilités ou l’étude d’un sujet pour lesquels plusieurs questions sont à aborder.
A partir d’un concept fondamental difficile, d’un problème ou d’un sujet polémique, les participants débattent en privé dans un premier temps avec leurs voisins, se positionnent à travers un vote puis débattent publiquement de leurs points de vue.
Le débat se termine par une phase magistrale pour organiser les idées discutées pendant le débat, apporter les contenus manquants et faire émerger le sens du problème.
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La responsabilité sociale des entreprises, la définition RSE, l’évolution de RSE, les types, les avantages/ les inconvénients, les exemples des activités de la RSE.
Organisation personnelle : GTD et matrice d'Eisenhower (Lightning Talk)Amaury Bouchard
Version simplifié de la présentation "Organisation personnelle : GTD et matrice d'Eisenhower", présentée pour la première fois le 5 juin 2012 au Forum PHP.
École d’été 2015 à L’UQAM
L’enregistrement est maintenant ouvert pour l’école d’été 2015 sur la réduction des impacts et la communication des risques météorologiques. Cliquez le lien en dessous pour voir les modalités d'inscription et le programme.
Présentation de Murielle Lanciault, directrice du Cégep du Vieux Montréal et représentante de la Fédération des cégeps au Comité national pour la formation à la prévention des risques professionnels.
Le Programme National pour la Sécurité des Patients (PNSP) est une volonté nationale d’intensifier la mobilisation de tous, patients et professionnels, pour progresser en matière de sécurité du patient
Le programme, conjointement piloté par la Direction générale de l’offre de soins et la Direction générale de la santé en association avec la Haute Autorité de santé (HAS) a pour objectifs de mieux structurer et de renforcer les actions dans le domaine de la sécurité des patients et d’orienter l’ensemble des acteurs de santé vers des priorités d’actions.
Ainsi le PNSP s’articule autour de 4 axes
Quatre thématiques structurent le projet. Elles présentent entre elles de nombreuses interfaces et convergences :
- renforcement de l’information du patient et de la relation soignant-soigné afin de mieux permettre au patient d’être co-acteur de sa sécurité (Axe 1)
- mise en place d’une déclaration et d’une prise en compte des évènements indésirables associés aux soins dans une logique d’apprentissage et d’amélioration des pratiques, via l’analyse des causes systémiques et le retour d’expérience en équipe, avec valorisation aux niveaux régional et national (Axe 2)
- amélioration de la culture de sécurité par la mise en place de formations à la sécurité des soins; le recours à des méthodes pédagogiques innovantes comme la simulation en santé; ou encore l’appui des professionnels de santé par des structures expertes (Axe 3)
- développement de la recherche sur la sécurité des soins et amélioration de la sécurité des personnes participant à la recherche clinique (Axe 4)
Pour en savoir plus sur le Programme National pour la Sécurité des Patients (PNSP) : http://www.has-sante.fr/portail/jcms/r_1505131/fr/programme-national-pour-la-securite-des-patients-pnsp?xtmc=&xtcr=3
Mes rôles et responsabilités en SST, conférence de clôture donnée par Michel Pérusse, professeur agrégé à l'Université de Sherbrooke, et spécialiste en santé et sécurité
Programme pour l’Amélioration Continue du Travail en Equipe (PACTE) - HASHaute Autorité de Santé
Les objectifs de ce programme sont de
- Sensibiliser les professionnels aux pratiques collaboratives autour de la qualité et de la sécurité des soins ;
- Faire levier au niveau du microsystème clinique, là où les patients, les familles et les équipes se retrouvent,autour d’un programme d’amélioration continue de la qualité et de la sécurité des soins,
- Élaborer un programme d’amélioration continue de la qualité et de la sécurité des soins en équipe, là où la prise en charge réelle traduit la réalité de la pratique, suivre et évaluer les effets produits (individuel, patient, collectif, clinique, etc.)
Cette présentation donne un aperçu de l'expérience du Sao Tome e Principe en matière de changement climatique planification de l'adaptation. Elle a été présentée par la délégation Sao Tome e Principe gouvernement en Avril 2014 à l'Atelier de formation régional pour l'Afrique NAP-SPG (francophone) à Addis-Abeba, en Ethiopie. Cet événement a réuni des représentants du gouvernement des ministères de l'Environnement, de la Planification et des Finances de 19 pays africains les moins avancés d'examiner le processus du PAN, qui vise à répondre à la moyenne de défis du changement climatique d'adaptation à long terme pour l'Afrique.
Plus d'informations: http://undp-alm.org/atelier-regional-de-formation-en-afrique
Présentation de Lynda Cyr, secrétaire, service des affaires étudiantes et communautaires, Francine Lamarre, enseignante en éducation physique, André Lapointe, coordonnateur des ressources matérielles et Josée Soucy, directrice des ressources humaines du Cégep de La Pocatière.
Présentation d'Éric Milette, directeur adjoint à la direction des études et de Serge Labelle, enseignant et coordonnateur, département de génie mécanique, Collège de Shawinigan
Présentation de Caroline Chiasson, attachée administrative, ressources matérielles et de Paul Delorme, coordonnateur des ressources matérielles, Cégep de Saint-Jérôme.
Présentation de Mathieu Bélanger, gestionnaire en ressources humaines et Audrey Pelletier, technicienne en administration, responsable de la santé et sécurité du Cégep de Sainte-Foy.
Présentation de Pierre-Paul Vaudreuil, directeur en prévention-inspection à la CSST, région de Montréal et de
Manon Gravel, Chef d'équipe, Direction du partenariat - Dossier Jeunesse, Direction générale de la prévention-inspection et du partenariat, CSST.
Registre des entreprises non admissibles (rappel de la mesure) et informations récentes; regroupement d’organismes publics pour un appel d’offres : identification des parties; autorisations requises du dirigeant d’organisme versus le plan de désignation de signature ou délégation de signature dans un organisme; survol des modifications réglementaires à venir.
Après avoir défini des concepts liés au développement durable et au coût global, nous explorerons l'idée de création de «valeur durable» et l'intégration de la notion de «cycle de vie» aux processus d'approvisionnement des organisations publiques. Le rôle stratégique de la fonction «approvisionnement» dans la création de valeur sera également abordé.
Plan de la présentation: définitions (cycle de vie, développement durable, économie (de moyens), empreinte écologique, énergie finale, coûts de transferts); concepts (coût, coût global, coût global et création de «valeur durable»); composantes du goût global (coût global simple, élargi et partagé); coût global et cycle de vie; cadre légal du développement durable en approvisionnement; phases d'un dossier type; évolution de la fonction approvisionnement du rôle des approvisionneurs.
Les considérations environnementales et sociétales gagnent de plus en plus le secteur de l'approvisionnement public. De nombreuses organisations se dotent de politiques d'acquisition écoresponsables ou autrement adhèrent à des principes de développement durable. Comment traduire cette prise de conscience sociale en approvisionnement public? Comment définir le développement durable en des termes contractuels respectueux du cadre législatif et réglementaire applicable à l'attribution des marchés publics? Ce sont des questions auxquelles se propose de répondre ce conférencier.
En outre, les sujets suivants seront abordés : définir le développement durable; intégrer le développement durable aux conditions d'admissibilité : risques et précautions; définir et quantifier des critères d'évaluation propres au développement durable.
Bilan de ses activités de l'année 2011-2012 au service des achats regroupés; enjeux 2012-2013; projets susceptibles d'appuyer les approvisionneurs dans leurs opérations quotidiennes; ententes du SAR et éléments de ces ententes pouvant contribuer à une approche durable et responsable des approvisionnements; nouvelle composition et nouveau mandat du CRAC; projets de développement et outil informatique pour le traitement des dossiers
au SAR; formation de deux comités.
Cet atelier a pour objectif de démontrer que la perspective du développement durable renforce l'importance stratégique des divisions acquisitions et ressources matérielles et convaincre les participants que le passage à l'action en matière d'achats responsables est possible et accessible pour tous. Il porte sur le lien entre le développement durable et les achats, les facteurs qui poussent les divisions acquisitions à intégrer le développement durable aux processus d'acquisition et les outils utilisés et ressources à la disposition de tous.
Plus de Collecto | Services regroupés en éducation (20)
Cours d'algorithme et programmation algoboxVirus237
Bien sûr ! Le cours d'algorithme et de programmation est essentiel pour comprendre les bases de la programmation et développer des compétences en résolution de problèmes. Voici quelques points clés :
1. **Algorithme** :
- Un algorithme est une séquence d'instructions qui décrit comment résoudre un problème.
- Il prend des données en entrée, effectue un traitement spécifique et fournit des données en sortie.
- L'écriture algorithmique est universelle et indépendante du langage de programmation ou de la machine.
2. **Programme** :
- Un programme est une série d'instructions qui s'exécutent en séquence ou en parallèle (parallélisme matériel).
- Il implémente un algorithme et peut être exécuté par une machine.
3. **Notions de base en algorithmique** :
- Types de données et lien avec la machine.
- Notion de sous-programmes et lien avec la compilation.
- Qualité du nommage des variables, assertions, documentation, etc.
- Structures algorithmiques fondamentales : implantation des algorithmes dans un langage de programmation.
- Introduction au test unitaire, recherche d'éléments, parcours, tri, etc.
4. **Problèmes fondamentaux en algorithmique** :
- **Complexité** : Combien de temps un algorithme met-il pour atteindre le résultat escompté ? De quel espace a-t-il besoin ?
- **Calculabilité** : Existe-t-il des tâches sans algorithme ? Peut-on dire si une tâche a une solution algorithmique ?
- **Correction** : Peut-on être sûr qu'un algorithme répond au problème pour lequel il a été conçu ?
5. **Langage algorithmique** :
- Un exemple simple d'écriture algorithmique :
```
Algorithme NomAlgorithme {
ceci est un commentaire
}
Début
... Actions ...
Fin
```
Si vous souhaitez approfondir vos connaissances, je vous recommande de consulter des ressources telles que [ce cours](https://www.i3s.unice.fr/~map/Cours/DUT_API_TD_TP/C1-2_APIStructuresAlgorithmiquesdeBase.pdf) ou [ce tutoriel](https://algo.developpez.com/cours/). N'hésitez pas à poser d'autres questions ! 😊¹²³
Source : conversation avec Copilot, 30/06/2024
(1) COURS ALGORITHMIQUE ET PROGRAMMATION INFORMATIQUE - unice.fr. https://www.i3s.unice.fr/~map/Cours/DUT_API_TD_TP/C1-2_APIStructuresAlgorithmiquesdeBase.pdf.
(2) Les bases de la programmation et algorithme | Udemy. https://bing.com/search?q=cours+d%27algorithme+et+programmation.
(3) Meilleurs cours et tutoriels pour apprendre l'algorithmique. https://algo.developpez.com/cours/.
(4) Les bases de la programmation et algorithme | Udemy. https://www.udemy.com/course/les-bases-de-la-programmation-et-algorithme/.
(5) Cours d'algorithmique et programmation 1. http://www.cril.univ-artois.fr/~delima/files/teaching/cm-algo1.pdf.
L'ÉDUCATION AVEC INTELLIGENCE ARTIFICIELLE ET LES DÉFICIENCES DE SON APPLICAT...Faga1939
Cet article vise à présenter comment l'intelligence artificielle peut être utilisée dans le développement de l'éducation avec les avantages et les risques liés à son utilisation, ainsi qu'à montrer les lacunes dans l'application de l'intelligence artificielle dans les processus pédagogiques au Brésil. Selon les mots de l'informaticien qui a inventé le terme, John McCarthy, l'intelligence artificielle est « la science et l'ingénierie permettant de produire des systèmes intelligents ». Il s’agit de la technologie utilisée pour que les machines se comportent comme des humains lorsqu’elles effectuent des activités manuelles, prennent des décisions, comprennent des données et même créent du contenu (innovation la plus récente). Les machines sont équipées de données et programmées pour en tirer des leçons, en divisant les informations en couches et en reconnaissant des modèles. Quels sont les avantages et les risques de l’intelligence artificielle dans l’éducation ? L'intelligence artificielle peut aider les enseignants à préparer des questions, à planifier les cours et à évaluer les performances des élèves. Pour l’étudiant, l’IA facilite la recherche et l’acquisition de connaissances. Développer la capacité à manier correctement cette technologie sera une autre tâche de l’enseignant dans le contexte de la culture numérique. Aujourd’hui, le rôle de l’enseignant n’est pas celui d’un simple transmetteur d’informations, mais plutôt celui d’un médiateur et d’un accompagnateur dans le processus d’apprentissage. L’intelligence artificielle peut apporter des améliorations au processus éducatif, mais elle comporte également des risques et des défis pour les établissements d’enseignement. On peut affirmer que l’intelligence artificielle apportera des avantages incommensurables aux établissements d’enseignement, à leurs dirigeants, aux enseignants et aux étudiants à tous les niveaux et qu’il existe des risques qui doivent être évités lors de son utilisation. De nombreuses universités dans le monde ne savent toujours pas quoi faire concernant l’utilisation de l’intelligence artificielle dans l’éducation et le Brésil présente des lacunes majeures dans l’application des outils d’intelligence artificielle dans l’éducation à tous les niveaux d’enseignement.
Le serment de Strasbourg -linguistique2-Boudra Chifaechifaebd5
La présentation sur le Serment de Strasbourg explore en profondeur ce document historique,qui marque un tournant dans l'évolution de la langue française.Elle aborde le contexte historique du Moyen Âge et les luttes de pouvoir entre les descendants de Charlemagne.En mettant en lumière les conséquences linguistiques et politiques du serment,l'exposé souligne son rôle dans la transition du latin aux langues vernaculaires et l'émergence des identités linguistiques modernes en Europe.
Colloque en SST 2013 - Atelier D - La sécurité dans les lieux spécifiques d’un collège : auditorium, laboratoires…
1. La sécurité dans les lieux spécifiques d’un
Colloque en santé et sécurité du CCSR
collège: laboratoires et auditoriums…
2013
Présenté par Jean-Louis Lachance,
Cégep de Saint-Hyacinthe
1
2. Objectifs de la rencontre
Témoigner aux participants, par la présentation chronologique de
son Plan d’action jeunesse, de l’expérience vécue au Cégep de
Saint-Hyacinthe quant à:
La sécurisation de ses laboratoires et de son auditorium
L’élaboration et à la mise en œuvre du Plan d’action jeunesse
L’avènement d’une culture de la prévention et du respect de
l’environnement en mode participatif
Échanger avec les participants sur les pratiques qui ont cours
dans les autres collèges
Répondre aux questions des participants
2
3. Contexte
Nouveau poste :
Qui fait quoi?
Du privé au public
Priorité: sauver des vies!
Création d’un outil pour la communauté:
«Consignes en cas d’urgence»
Le Plan d’action jeunesse?
3
4. Ressources
Programme de prévention des accidents du collège
Programme de prévention élaboré par Raymond Chabot Grant
Thornton pour les collèges membres de la mutuelle de
prévention
CSST
Conseillère jeunesse, inspecteurs, centre de documentation
Comité santé et sécurité
Expertise, représentativité, parité
Direction
Volonté, finances
4
Départements et services
Expertise, réalité sur le terrain
5. Prêcher par l’exemple
Lacunes du plan de prévention des accidents
Nécessité de l’articuler autour d’un plan d’action impliquant, dans
l’ordre:
La sécurisation des machines et des équipements
La sécurité des lieux
L’analyse des tâches jugées à risque
Le rôle de l’organisation (LSST, art. 51) + Code criminel, art. C-21;
devoir de:
o Prévoyance
o Efficacité
o Surveillance
Le rôle des individus (LSST, art. 49)
5
6. D’une pierre deux coups
Vers une culture de la SST : des travailleurs conscientisés pour
former des ambassadeurs de la SST sur les bancs d’école
Le Plan d’action jeunesse comme plan d’action en SST :
Horizon 2011-2014
La santé et la sécurité des étudiants : un bon vendeur
6
7. Étapes du Plan d’action jeunesse
Automne 2011 :
Élaboration du Plan d’action jeunesse par le régisseur prévention et
sécurité et dépôt à la CSST après consultation avec:
o Comité santé et sécurité
o Régie de direction
o RDA
o RCD/RCP
35 rencontres sur les mesures d’urgence (1 comité de gestion, 1
régie élargie, 24 départements, 6 services, 2 sous-traitants,
1
rencontre ouverte à tous), soit environ 500 personnes
Positionnement du Collège par rapport à la SST dans l’agenda
étudiant
7
8. Automne 2011 (suite)
Consultations pour mise à jour du Programme de santé et sécurité
dans les laboratoires. L’invitation avait été faite aux départements
jugés à plus haut risque d’accidents:
o Biologie
o Chimie
o Physique
o Soins infirmiers
o Soins préhospitaliers d’urgence
o Techniques de diététique
o Techniques de santé animale
o Techniques d’hygiène dentaire
o Technologie d’analyses biomédicales
o Technologie de la mécanique du bâtiment
o Théâtre – production
8
9. Élaboration d’un programme de formation pour les «super-secouristes»
o 4 formations complémentaires par année, en plus du cours de secourisme
en milieu de travail accrédité par la CSST
o Un walkie-talkie avec fréquence dédiée et un sac à dos contenant matériel
de premiers soins + bonbonne d’oxygène et Epipen
Identification des machines à sécuriser au collège
o Par le CCTT Mecanium (Cégep Beauce-Appalaches), phases I et II
o 83 machines simples et 2 complexes (thermoformeuse et cintriers)
o Budget prévu (ouverture de dossier, étude des machines simples et
formation – phase I): 10,000$
o Budget final: 13,220$
o Retrait ou correctifs immédiats des machines (5) présentant un «danger
grave et imminent»
o Uniquement retrait et à coûts nuls
9
o Formation sur la sécurité des machines pour les t.t.p. des départements où
des machines présentant un danger grave et imminent ont été rencontrées
10. Hiver 2012
Au début de chaque trimestre, le régisseur participe à la rencontre des
RCD/RCP pour expliquer le détail des orientations du Plan pour le
trimestre et répondre aux questions. S’ensuit l’envoi d’une trousse
explicative pour guider les départements dans la réalisation de leurs
activités de SST. Cette trousse contient:
o Le Plan d’action jeunesse
o Le sommaire des activités à réaliser par les départements et description
des outils pour y arriver
o Les grilles à adapter et remplir
o L’extrait de l’étude de mise aux normes des machines propre à chaque
département
Analyses de risque avec grilles en mode participatif pour
départements à risque et Service des Ressources matérielles
10
12. Hiver 2012 (suite)
Création d’une communauté Prévention et sécurité dans le Portail
Affichage de la procédure «Évacuation» et «Agresseur armé/non armé» dans les
locaux de classe et les places publiques
Localisation des Guides du fabricant des différentes machines
Rondes des agents de sécurité avec grille de SST de la mutuelle
Étude/accompagnement et sécurisation de machines présentant des éléments de
«tolérance zéro»
o Budget prévu: 25,000$
o Budget final:
14,906$ (9,518$/étude et 5,388$/sécurisation)
Étude/accompagnement et sécurisation d’une machine complexe à l’auditorium (les
cintriers)
o Budget prévu pour l’étude:
2,500$ Budget final: 3,834$
o Budget prévu pour réalisation des correctifs: 15,000$ Budget final: 2,062$
Étude et sécurisation d’une machine complexe à l’atelier de décors (thermoformeuse)
o Budget prévu pour l’étude:
2,500$ Budget final: 397$
12
o Budget prévu pour le remplacement:
10,000$
Budget final: 8,000$
13. Automne 2012
Publication du Programme de santé et sécurité dans les
laboratoires mis à jour
o Aucune hiérarchie devant le risque
Recensement des directives et des activités pédagogiques
concernant la SST par les départements dits «à risque»
Incitatif auprès des enseignants pour qu’ils effectuent un retour en
classe lors d’incidents récents ou non
Correctifs sur machines à priorité moindre (début)
Rappel annuel de la procédure:
o
o
o
o
13
Premiers secours
Déclaration d’un incident ou d’un accident de travail
Évacuation
Agresseur armé/non armé
14. Hiver 2013
Par l’entremise de Synor, élaboration d’un programme de formations
complémentaires suite à l’étude des analyses de risque. But du programme:
devenir autonomes autant que possible (ex. transport de matières biologiques,
protection contre les chutes)
Directive inspection périodique des équipements et des lieux
Production par les départements à risque de grilles d’inspection adaptées à
leurs différentes réalités (laboratoires)
Présentation des grilles aux étudiants
Formations (4) des employés de l’École de théâtre et de l’équipe des
Ressources matérielles (1) sur la protection contre les chutes
Correctifs sur machines à priorité moindre (fin)
Budget prévu: 35,000$
Budget final: 14,249$
Se procurer un logiciel d’inventaire des matières dangereuses et former le
personnel
Habilitation des membres du CSS à effectuer des inspections
Ajout d’un système d’annonce publique en cas d’urgence
14
15. Étapes du Plan d’action jeunesse (suite)
Automne 2013
Bilan de la sécurisation des machines
o Budget prévu: 100,000$
o Budget final:
15
56,668$
16. Étapes du Plan d’action jeunesse (suite)
Automne 2013 (suite)
Formation des nouveaux employés
Débuter les inspections périodiques et:
o consigner les résultats dans réseau informatique accessible à tous
o effectuer au moins une inspection par cours avec les étudiants
Mettre en place une procédure d’achat d’équipement tenant
compte des critères SST
Tenir une campagne sur l’ergonomie au travail
Offrir des formations portant sur:
o cadenassage
o fit test
16
17. Étapes du Plan d’action jeunesse (suite)
Automne 2013 (suite)
Élaboration d’une procédure pour les étudiantes enceintes ou qui allaitent
ainsi que pour les étudiants ayant un problème de santé (formation d’un
sous-comité du comité santé et sécurité)
Élaboration d’une procédure de gestion des matières dangereuses
(formation d’un sous-comité du comité santé et sécurité – 2013-2014)
o transport
o manutention
o entreposage
o disposition/élimination
17
18. Étapes du Plan d’action jeunesse (suite)
Hiver 2014
Permanence des correctifs:
o Programme d’entretien préventif pour l’équipe des Ressources
matérielles
Procédure institutionnelle pour:
o Travail en hauteur
o Cadenassage
o Espaces clos
Élaboration d’un nouveau Plan d’action jeunesse!
18
19. Conclusion
Développement d’une culture de prévention au Cégep
de Saint-Hyacinthe:
Déclarations d’incidents à la hausse
Beaucoup de questions/discussions sur la SST
Comité SST impliqué
Craintes et réticences par rapport à l’«ajout» de travail
Suivi et supervision de tous les instants nécessaires
Régisseur prévention et sécurité débordé!
19