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La Refondation de l’État au Gabon - Plaidoyer pour une nouvelle République

Date juillet 27, 2009

 

Essai en vente aux éditions Thélès ( www.theles.fr),

A SOGAPRESSE et au siège de l’UPNR à Libreville (Tél : 77 40 13)

 

 

La refondation de l’Etat dessine les grands contours de ce que devrait être la République Gabonaise.

Maitre Mayila souligne dans cet ouvrage les carences, les limites, les manquements du système dont il se sent solidaire. Avec courage, il reconnaît certaines erreurs et certains échecs. Mieux, il esquisse quelques pistes de solutions. Selon lui, la refondation de l’Etat est une condition sina que non au développement du pays.

Cette refondation passe, au niveau politique, par une nouvelle gestion de la chose publique. L’auteur met un accent particulier sur le choix des dirigeants politiques en rendant le vote obligatoire, seule manière de redonner aux élus du peuple une véritable légitimité.

Au niveau économique, il propose une renégociation de la dette et une renationalisation des entreprises mal privatisées. Au niveau social, l’homme doit être mis au cœur du développement et incarner des valeurs autres que celles de l’homo gabonicus actuel. La politique sociale doit être axée autour de l’éducation, la sante, la justice et une meilleure redistribution du revenu national a travers un système d’aides sociales pour les plus démunis.

L’Avenir du Gabon vous interpelle !

Date juillet 27, 2009

Allocution de Maitre Louis Gaston MAYILA a la réunion de la désignation du Candidat d’Alliance pour le Changement et la Restauration

Libreville le 19 juillet 2009

Nous voici Présents au Rendez-vous de l’histoire,

Nous voici au Rendez-vous avec l’histoire, maintenant que ceux qui veulent applaudir, le fassent.

Au Congrès du Parti, le Congrès de l’Union Pour la Nouvelle République, je me suis adressé au peuple gabonais. Je crois avoir été entendu. J’ai même la conviction que j’ai été entendu.

Je suis ce soir ici présent, pour consacrer la naissance de l’Alliance : l’Alliance pour le Changement et la Restauration.

L’Alliance pour l’avenir du Gabon,

L’Alliance pour l’espoir, et qui permet tous les espoirs.

Mais ce soir je veux parler à la troisième dimension !!

Et je vais commencer par pousser un cri ;

Et je dis Roi Denis Rapotchombo,

Miè, mbamba y mbamba,

Dans votre tombe de la Pointe qui porte votre nom, vous ne dormez pas !!

Je dis, Président Léon Mba !!

Père de l’Indépendance,

Dans votre tombe du centre ville, vous ne dormez pas ;

Je dis, Président Bongo Ondimba !!

Dans votre tombe altogovéenne,

Vous ne dormez pas ;

Je dis, Président Georges Damas Aleka !!

Dans cette terre de l’Estuaire où vous reposez avec sérénité,

Vous ne dormez pas ;

Je dis, Monsieur Jean François Ondo !!

Dans votre tombe de Meka,

Vous ne dormez pas ;

Je dis, Monsieur Vincent de Paul Nyonda !!

Dans cette terre de Mandji,

Vous ne dormez pas ;

Je dis, Président Jean Hilaire Obame !!

Dans votre tombe dans cette terre de l’Estuaire, Vous ne dormez pas ;

Je dis, Président Réné Paul Souzatte !!

Dans votre tombe de Mandji,

Vous ne dormez pas ;

Je dis, Grand Eugène Marcel Amogho,

Dans votre tombe altogovéenne,

Vous ne dormez pas ;

Et traversant l’océan,

Je dis Général de Gaulle !!

Dans votre tombe de Colombay les deux églises, vous ne dormez pas !!

Vous qui avez fait serment à Clemenceau de maintenir la France dans la victoire, la dignité et l’honneur, dans votre tombe de Colombay les deux églises, vous ne dormez pas !!

L’Avenir du Gabon vous interpelle !

Le SORT DU GABON et des Gabonais vous interpelle, par ma voix.

Aujourd’hui à mon tour, par cette voix à nulle autre pareille, par cette bouche que je prête parfois à Dieu pour dire les grandes choses, je fais serment de donner au Gabon, une Alliance,

Un Président et une Majorité, pour maintenir le pays dans la paix, la stabilité et l’honneur.

Je n’ai pas hésité un seul instant, pour invoquer tous ces grands noms, qui désormais appartiennent à l’histoire, parce que je sais qu’aujourd’hui, vous n’êtes plus le Père de personne, vous êtes le Père de tout le monde.

Vos familles me pardonneront, d’avoir pris la liberté d’invoquer vos illustres noms.

Parce que hier vous vous êtes battus pour la cause du Gabon, vous êtes les Pères Fondateurs de la République.

Dans tous les pays du monde, quand la République est en danger, quand la Nation tremble, on se tourne vers les Pères Fondateurs, pour qu’a côté de Dieu, ils protègent la République.

Je connais d’expérience les enfants de la République, parce que j’en suis un. Mais nulle part au monde, je ne connais pas la République des enfants ; où des gamins vont faire appel aux candidatures dans les médias.

Le Gabon aujourd’hui a besoin de repaires, à besoin d’une lecture de son avenir, et choisir en toute responsabilité.

Mais quand la faim, quand la peur, quand l’esprit de Lucre, guident nos pas, c’est la liberté qui en est sacrifiée.

Comme Jean Paul Sartre, je hais les victimes quand ils respectent leur bourreau.

C’est avec les esprits de tous ceux que j’ai invoqués, avec le concours de Dieu, que je vous présente à mon tour Pierre Mamboundou Mamboundou comme candidat de l’Alliance, pour la Victoire de tous, avec tous, avec le concours de tous.

L’Alliance qui devient le cri de ralliement de tous les gabonais,

L’Alliance synonyme de Liberté, synonyme d’Alternance,

L’Alliance porteuse d’espoir que nous plaçons en vous, Président Mamboundou.

Maintenant me tournant vers vous Monsieur le Président, je vous dirai qu’il était une fois, un père qui voyageait avec son fils, et qui demanda au fils de monter au sommet d’un arbre pour savoir s’il y avait pas danger devant ou derrière.

Mais dès que le fils était au sommet de l’arbre, le père ouvrit toutes les provisions et commença à manger, et quand le père interrogea le fils, celui-ci répondit : « papa devant tout va bien, derrière tout va bien, mais le mal est au pied de l’arbre ».

Maintenant je dois me tourner vers nous-mêmes, pour nous dire Président Mamboundou, Président Ndaot Rembogo, Président Kombila Koumba, Président Moussavou King,

Faisons en sorte que le mal soit devant !

Nous ! Nous le verrons pour le combattre.

Faisons en sorte que le mal soit derrière,

Nous !

Nous sommes capables de courir et nous mettre hors d’atteinte ;

Mais faisons tout pour que le mal ne soit pas au pied de l’arbre. Le pied de l’arbre c’est l’Alliance, le pied de l’arbre c’est le noyau dur,

Le mal serait que demain, après demain, on apprenne que les Présidents Ndaot Rembogo et Mayila ne se parlent plus ;

Le mal serait qu’on apprennent que les Présidents Mamboundou, Kombila Koumba et Moussavou sont à hue et à dia.

Pour ma part, je prends l’engagement solennel, que l’Union Pour la Nouvelle République et son Président, préserveront l’Alliance de tout danger et mettront tout en œuvre, pour son unité et sa postérité.

C’est avec cette garantie que tous, comme un seul Homme, nous nous surpasserons pour sauver le pays du chaos, pour éviter que ce pays ne tombe entre des mains malhabiles, entre les mains de ceux qui ont rangé les malheurs de leur pays, et de leurs compatriotes, au rang de leurs espoirs, selon la terrible interrogation de Chateaubriand.

Que Dieu nous Bénisse tous, et Bénisse le Gabon.

Je vous remercie.

Maître Louis Gaston MAYILA                                                               

 

Citoyens vous êtes, Citoyens vous le prouverez par votre vote,..

Date juillet 27, 2009

CONGRES EXTRAORDINAIRE DE L’UNION POUR LA NOUVELLE REPUBLIQUE,Libreville le 17 juillet 2009

Discours de Clôture de Maître Louis Gaston MAYILA, Président Fondateur.

 

Mes chers compatriotes, l’heure est grave nous devons en être conscients. Permettez d’abord que je me tourne vers vous, mes propres compagnons à travers la République, militantes et militants de l’Union Pour la Nouvelle République, pour vous demander avec insistance, d’aller vous inscrire massivement sur les listes électorales, afin de vous élever tous au rang de citoyens.

-          le citoyen c’est celui qui vote ;

-          le citoyen c’est celui qui considère son bulletin de vote comme une arme au service de la démocratie, donc au service du développement ;

-          le citoyen mes chers compatriotes, c’est celui qui par son choix oriente le destin du pays et peu changer son cours, c’est donc un acteur, il vote, il choisit.

Celui qui ne vote pas n’est pas un citoyen,  il est un sujet. Un sujet au service d’un maître, un sujet qui laisse sa vie entre les mains de maître, pour décider à sa place.

Maintenant en observant l’air du temps, ceux qui ne votent pas ont été abaissés encore d’un cran. Ils sont devenus des objets :

-          des objets dont on dispose ;

-          des objets qu’on achète ;

-          des objets que l’on vend ;

Voici des esclaves, vendus par les intermédiaires, rabatteurs de voix, pour les apprentis politiciens qui les achètent à coup de menaces et de promesses.

Alors la peur remplace la conviction,

Alors la peur fait oublier la volonté de changement,

Alors la peur fait oublier la misère et la volonté d’un mieux être,  pour nous et nos enfants.

N’AYEZ DONC PAS PEUR ! Levons nous et battons nous !

C’est le moment pour moi de saluer ici les militants de l’Union du Peuple Gabonais, les militants de l’Alliance des Bâtisseurs, les militants du Rassemblement National des Bûcherons, des militants du Parti Socialiste Gabonais, les Militants de l’UPN, les Militants du RDP, les Militants du Morena Unioniste, les Militants du PNG, les Militants du FUR, les Militants du PDR, les Militants du CRF, les Militants du MJDS, les Militants du CNCD, les Militants du PRN, les Militants du BROP, les Militants du CCDG, et bien d’autres, pour leur adresser la même invite.

Citoyens vous êtes,

Citoyens vous le prouverez par votre vote,

Citoyens vous saurez changer le destin de la nation,

Lui donner un sens conforme à nos ambitions communes,

Conforme à nos aspirations communes,

Mais quelles sont nos ambitions communes ?

Quelles sont nos aspirations communes ?

Je réponds sans hésiter, le changement,

Je réponds sans hésiter la restauration,

Restauration de l’autorité de l’Etat,

Restauration des valeurs Républicaines,

Restauration des lois de la République, dans le respect et la dignité de chacun et de tous.

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Débat sur les éléctions présidentielles au Gabon 2009

Date juillet 16, 2009

Au Gabon la Démocrature est en Marche

Date mai 2, 2008

 

Les élections de la honte : - 5% de la population s’est rendu aux urnes

Le constat général est que les gabonais ne se sont pas déplacés pour aller voter. Les élections locales du 27 avril 2008 consacrent la faillite d’un système bâti sur l’argent, l’achat de conscience, sur l’artificiel qui ne repose sur aucune conviction. Il n’y a plus place ici pour parler de corruption parce que pour parler de corruption, il faut qu’il y ait d’une part des corrupteurs et de l’autre des corrompus.

Au Gabon le désordre, l’inorganisation ont atteint un paroxysme rarement égalé ailleurs. Il n’y a pas de liste électorale, personne n’est sûr d’aller voter, ceux qui sont inscrits ne sont pas sûrs de trouver leurs noms sur les listes, ceux qui ont les noms sur les listes n’ont pas de cartes d’électeurs, la liste électorale affichée  n’est pas la même que la liste d’émargement. Les radiations sont devenues une arme contre les adversaires politiques. A Fougamou, tous ceux dont on était sûr  qu’ils ne voteraient pas pour le PDG ont été radiés, les noms se sont retrouvés à Ndende ou à Port Gentil.

La première sonnette d’alarme a été tirée par le Président de la République lui-même, le 28 avril le Chef de l’Etat a déclaré à la radio, ne pas comprendre que le Gabon qui a plus d’un million d’habitants, les gens ne se déplacent pas pour aller voter. C’est le constat d’un chef averti qui se rend compte que son gouvernement n’a pas été à la hauteur.

A Owendo par exemple, on a assisté au triste spectacle de l’entrée de Madame le Maire, pas moins, au bureau de la CENAP qui est censée être la Commission Nationale Electorale Indépendante. Madame le Maire est rentré avec un sac bourré d’argent, s’est enfermée pendant 45 minutes avec les membres de la CENAP. On devine bien ce qui a pu se passer entre les mûrs… le résultat est que les owendois n’ont pas voté.

Dans le désordre généralisé, devant la honte et la colère, les Gabonais ont préféré bouder les urnes. On voit dans les bureaux 300 inscrits, 14 votants, ou 500 inscrits 8 votants, c’est le triste spectacle qu’offre le Gabon.

L’inorganisation, le mépris des lois, la désorganisation des structures de l’Etat, ont atteints un tel point que pour les analystes le Gabon est aujourd’hui tout simplement :

-          un pauvre petit pays foutu

-          un foutu pauvre petit pays

-          un petit pays pauvre et foutu

Voici ce que pensent tous ceux qui ont déjà ailleurs vu fonctionner une Démocratie, un Etat, une Administration qui méritent ces qualificatifs.

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« L’heure de vérité »

Date avril 10, 2008

Arret du 4 Avril (pdf 2.1 MB)

Decision du 8 Avril (pdf 1.5 MB)

 procès-verbal de notification (.jpeg)

Decision du 4 Avril (pdf 1.5 MB)

Conférence de Presse : « L’heure de  vérité »

Libreville, le 10 avril 2008

Mesdames et Messieurs,

Distingués invités,

Je voudrais vous remercier tous, d’être venus nombreux ce matin pour marquer une étape de l’Union Pour la Nouvelle République, étape que nous appelons « l’heure de vérité ».

L’opinion nationale et internationale a suivi avec une attention soutenue, les différentes étapes de la vie de notre Parti. Le nombre croissant des militants, l’adversité que nous témoignent les pouvoirs publics et les autres formations politiques, nous confortent dans l’idée que nous sommes dans le vrai. Dans le discours, nous sommes dans le vrai, dans les orientations que nous proposons, nous sommes dans le vrai, dans le combat de tous les instants que nous menons depuis la création du Parti, nous sommes dans le vrai.

Nous sommes conscients d’apporter un nouveau message, un message de vérité, un message de courage, un message d’espoir pour nos populations, démobilisées, découragées, saisies par le doute. Nous sommes le recours vers lequel se tournent tous ceux qui pensent, que tout espoir n’est pas perdu, tous ceux qui refusent d’abandonner la Partie, tous ceux qui pensent que les changements sont une nécessité des temps modernes, sont une condition sine qua non de la survie d’une nation.

Voilà pourquoi sur chaque sujet, chaque secteur qui conditionne la vie de la nation, l’Union Pour la Nouvelle République a une solution à proposer, des orientations à soumettre et une invite forte en direction de tous les Gabonais, pour consolider l’unité nationale.

Nous sommes ce matin réunis pour l’heure de vérité. Vous allez pourvoir juger par vous-mêmes, qui dit la vérité, qui est sincère dans sa démarche.

Vous allez pouvoir juger par vous-mêmes qui raconte des contre-vérités, qui raconte des histoires à dormir débout, à ses Chefs, au peuple, à l’opinion nationale et internationale.

Depuis la création du Parti, je me suis inscrit dans le respect de la loi, dans le respect des Institutions de la République, dans le respect de l’autorité établie. Qu’on en juge !

 

 

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Mayila et les siens sous la Banniere de l’UPNR

Date avril 8, 2008

 Article du quotidien gabonais L’UNION du 8 avril 2008:

Lisez l’article

 

JE REFUSE DE PERDRE

Date mars 28, 2008

 Aux candidats de l’Union Pour la Nouvelle République.

U.P.N.R

JE REFUSE DE PERDRE : Genèse 50

·        Pour ceux qui souffrent sous la pression satanique au point d’abandonner la partie.

·        Pour ceux qui refusent de quitter.

Les activités des videurs et des gaspilleurs se redoublent. Ils fonctionnent pour vous faire perdre vos bénédictions spirituelles, physiques et matérielles : Ne quittez pas, il faut leur résister strictement tout en priant.

Philippiens 4 :13 <<Je suis tout par celui qui me fortifie>>

Si vous désirez réussir dans la vie, il faut avoir la disposition mentale juste. L’homme est un produit de ses pensées. Voila pourquoi la bible dit :

Prov. 23 :7, << Car il est tel que sont les pensées dans son âme>>

Si vous pensez que vous êtes un vaut rien alors vous êtes un vaut rien, si vous pensez que vous êtes un vainqueur, vous êtes vraiment un vainqueur.

Un des endroits où l’ennemi construit sa forteresse est dans nos esprits. Voilà pourquoi on nous demande de renverser toute imagination négative. <<Nous renversons les raisonnements et toute hauteur qui s’élève contre la connaissance de Dieu et amenons toute pensée captive à l’obéissance de Christ.>> (2Cor.10 :5).

Ne soyez pas gêné de tout ce que vous voyez ou des situations autour de vous. Soyez gêné plutôt par la parole de Dieu. Votre avenir n’est pas déterminé par votre situation ou une circonstance actuelle. Il est toujours déterminé par la volonté de Dieu décrétée en avance à votre égard (2Timothée 1 :4).

Dieu peut faire sortir la croissance et la vie des endroits si improbables. <<Parce qu’il fera grandir devant lui comme une herbe tendre et comme une racine de la terre sèche…>>. Les herbes ne poussent jamais ni fleurissent dans le terrain sec.

Cessez de limiter Dieu par votre pensée même. Avoir à faire de grandes idées. Dieu peut tout faire.

Il faut savoir ceci : le ridicule précède le miracle. Comme vous vous servez de ces sujets de prière, Dieu changera vos points de ridicule aux courants des miracles.

                                                            Maître Louis Gaston MAYILA, Président Fondateur.

Gabon - Elections locales, avril 2008

Date mars 27, 2008

 Dépliant de L’Union Pour la Nouvelle Republique,

 

Le maître mot de l’Union Pour la Nouvelle République est l’amour. Aimer nos compatriotes. Aller vers eux avec amour, les aimer sans rien attendre en retour.

Donner un sens à sa vie, c’est la consacrer aux autres, or on ne peut pas faire le bonheur des gens qu’on n’aime pas. Commençons par nous aimer, nous au sein du parti. Après nous membres du parti, aimons les gabonais.

Un peuple c’est une famille en plus grand dans sa diversité : Notre pays, souffre du manque d’amour. Les gabonais, se détestent, ne savent que distribuer la méchanceté, ne cherchent que ce qui peut faire mal à son compatriote, comment nuire, comment gêner ou diminuer son prochain.

L’Union Pour la Nouvelle République est une famille d’amour. L’amour entre nous, l’Amour que nous avons pour notre peuple.

Cet amour se traduit sur le plan politique par la promotion de : l’unité nationale, la défense des libertés fondamentales publiques et individuelles, l’expression démocratique des aspirations de toutes les composantes nationales du peuple gabonais, le développement harmonieux de l’ensemble du pays, le progrès social dans l’équité et la solidarité nationale.

Les collectivités locales (l’Assemblée départementale et la mairie) sont des institutions qui jouent un rôle important dans le développement du pays du fait qu’ils soient les plus proches des populations. Etant au cœur des préoccupations populaires, l’Union Pour la Nouvelle République entend leur restituer leurs lettres de noblesses en faisant d’elles de véritables pôles de promotion de progrès tout en continuant leurs missions traditionnelles ou créant d’autres en fonction des besoins qui s’imposeront. L’Union Pour la Nouvelle République s’engage donc à faire des Assemblées départementales et des mairies des institutions où régneront la justice, le progrès et la paix entre les hommes et les femmes et entre les différentes générations.

 

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Article Herald Tribune

Date mars 25, 2008

 Mayila, the pro-Bongo politician, acknowledged "Gabon has its problems. There are no roads, not enough schools, too much unemployment. But we have to fix things on our own time, in our own way — peacefully — not through war."

"At least I can go to sleep without fearing for my life," he said. "In this part of Africa, there’s something to be said for that."

Lisez l’article dans l’Herald Tribune