Présentation réalisée lors de la rencontre du 28 septembre 2016 dans le cadre de la démarche d'élaboration du Plan Climat-Air-Energie Territorial (PCAET) et de la relance de la dynamique Convention des Maires des communes.
L'ALEC du Pays de Rennes a présenté les outils financiers à disposition des collectivités pour la transition énergétique :
Aides à la décision et appel à projets « Bâtiments performants »
ADEME/Région Bretagne - Guy LAURENT
Diapositives 7 à 22
Financement de la transition énergétique par les prêts « Croissance verte » - Groupe caisse des dépôts : André GRAS
Diapositives 23 à 40
Projet d’énergies renouvelables citoyennes
TARANIS - Marianne BILLARD
Diapositives 41 à 47
Plan bois énergie : exemple de réalisation et aides financières AILE - Aurélie LEPLUS
Diapositives 48 à 70
Retrouvez les dernières infos du marché de l'électricité et les actualités d'Electricité de Savoie.
Au sommaire de ce nouveau numéro :
* Dossier du mois : Le TURPE HTA/BT
* La programmation pluriannuelle de l'énergie
* Les infos énergie à retenir
Bonne lecture !
Présentation par Gwenaëlle Pautet, ville de Vaulx-en-Velin, dans le cadre du séminaire du 22 octobre sur la gouvernance locale de la transition énergétique.
Plus d'infos: www.uvcw.be
Engagés pour la plupart fin 2007 ou début 2008, les conseillers en énergie des communes énerg-éthiques présentent un beau bilan de leurs premières années d’activité au service des communes et des citoyens. La voie d’une maîtrise énergétique au niveau communal est ouverte; elle doit être élargie à l’ensemble des communes intéressées et les initiatives amplifiées et soutenues.
Le partage d’energie comme accelerateur de la transition - 04 octobre 2022Cluster TWEED
Le Cluster TWEED organisait ce 4 octobre un séminaire sur "Le partage d’énergie comme accélérateur de la transition" à l'occasion du salon Smart City Wallonia à Marche. Le partage d'énergie entre pouvoirs publics, entreprises et citoyens représente une réelle opportunité pour la stabilité des prix, pour le renforcement des liens sociaux entre acteurs et pour une meilleure intégration et accélération de la production renouvelable.
Dans le contexte énergétique actuel, les communautés d'énergie et les opérations de partage sont pour le secteur de l'énergie des modèles-clé qui permettent d'augmenter considérablement la résilience du marché et de renforcer le tissu local pour mieux faire face aux fluctuations du marché.
Découvrez ici les présentations du Cabinet du Ministre wallon de l'Energie (cadre légal), du Gestionnaire de Réseaux ORES (déploiement des compteurs communicants) ainsi que du Bourgmestre d'Hannut (méthodes, chiffres et retours de la mise en place d'une Communauté d'énergie sur son territoire), qui ont présenté aux 120 personnes présentes le cadre et les opportunités concrètes du partage d'énergie renouvelable pour et avec les acteurs locaux.
Territoires à énergie positive: expérimentation en BourgogneRéseau Tepos
Territoires à énergie positive : impulser des dynamiques de généralisation
INTERVENANTS:
Michel MAYA, Maire de Tramayes, fondateur du réseau TEPos
Claire LE STRAT, Chargée d’études, Energies Demain
Peggy KANCAL, Conseillère régionale déléguée au Plan Climat, Région Aquitaine
Benoît LECLAIR, Vice-Président à l'énergie et au climat, Région Rhône-Alpes
ORGANISATEUR ET ANIMATEUR:
Yannick REGNIER, Responsable de projets au CLER, Animateur du réseau TEPos
Un territoire à énergie positive est un territoire dont les besoins d’énergie ont été réduits au maximum et sont couverts par les énergies renouvelables locales, selon les 3 principes de la démarche négaWatt : sobriété énergétique, efficacité énergétique et énergies renouvelables. Cet objectif est atteignable pour les territoires majoritairement ruraux.
L'originalité du concept repose sur la combinaison de critères touchant à l'engagement politique, la méthodologie employée et l'approche systémique, en plus des résultats chiffrés sur les énergies. Les promoteurs du territoire à énergie positive postulent qu'il faut "cesser de faire des projets sur les territoires, et engager des projets de territoire". Cela constitue une nouvelle manière d'appréhender les projets énergétiques, non plus via une approche "filière", mais plutôt par une approche "territoire".
Une définition homogène du territoire à énergie positive a été établie au niveau européen, dans le cadre du projet "100% RES Communities" coordonné par le CLER. Elle permettra très bientôt d'identifier les territoires à énergie positive de 12 pays européens (Allemagne, Autriche, France, Italie…).
De nombreux acteurs régionaux impulsent aujourd’hui des dynamiques de généralisation des territoires à énergie positive : financement des études stratégiques, élaboration d’outils territorialisés, animation régionale… Ces différentes approches favorisent l’émergence d’un intérêt et l’engagement des territoires.
En savoir plus : www.territoires-energie-positive.fr
Cet atelier a eu lieu le 29 janvier 2013 pendant les Assises de l'énergie des collectivités locales à Grenoble.
Présentation de restitution de l'étude menée sur les réseaux de chaleur dans l'enseignement supérieur et de recherche par Fondaterra en partenariat avec la SCET et le soutien financier de la Caisse des Dépôts.
Présentation "La transition énergétique et les Smart Grids en région Pays de la Loire", dans le cadre de la Mission exploratoire AWEX-WBI. Cap sur les Villes intelligentes françaises. (Volet Bordeaux-Nantes: du 23 au 27 novembre 2015).
Le décret wallon "autoconsommation collective" adopté en 2019 (et actuellement en cours de ré-écriture) propose un cadre légal pour la mise en place de communautés d’énergie renouvelable (CER). L’objectif est de permettre à des citoyens, des collectivités locales, des entreprises, des hôpitaux, etc., de s’organiser pour développer une production et une consommation locale d’électricité. À coté des communautés d’énergie, d’autres mécanismes de partage d’énergie existent comme les plateformes peer-to-peer ou les réseaux privés. Tous ces systèmes de partage d’énergie utilisent le réseau de distribution existant pour leurs échanges locaux.
Aujourd’hui, plusieurs projets pilotes sont en place en Wallonie et il y a un réel intérêt pour le modèle. À ce stade, cependant, plusieurs incertitudes subsistent sur les avantages réels des communautés et sur les relations, notamment tarifaires, qu’elles entretiendront avec le réseau.
Cette rencontre-conférence sera l’occasion de revenir sur ces différents aspects.
RENOVATION EN COPROPRIETE ANALYSES DES BLOCAGES ET LEVIERSMonimmeuble.com
L’Agence Parisienne du Climat et l’institut de recherche Efficacity publient une nouvelle étude sur les blocages et les leviers économiques pour la massification des rénovations en copropriété.
Cette étude est un premier jalon d’une collaboration démarrée il y a plus d’un an, qui se prolonge aujourd’hui. En combinant l’approche terrain de l’APC - au contact des copropriétés - avec l’expertise d’un institut de recherche, l’objectif est de montrer en quoi l’analyse économique et statistique des projets de rénovation contribue à mieux identifier les blocages et leviers pour faciliter le passage aux travaux.. Il s’agit notamment d’étudier les co-bénéfices de la rénovation énergétique et leur monétarisation au delà des seules économies d’énergie : valorisation patrimoniale, confort, qualité sanitaire du logement, etc.
Ce travail se base sur une revue de littérature et l’étude d’une base de données de plus de 600 audits énergétiques. Il donne des pistes opérationnelles pour agir sur les leviers identifiés, et préfigure d’autres travaux à venir, sur la création d’un observatoire de la rénovation énergétique, ainsi que sur la mutualisation des projets à une échelle plus large que l’immeuble (îlot, quartier, …).
http://www.apc-paris.com
Similaire à Méthodologie d'examen des projets de stockage d'électricité en ZNI (20)
2. Surcoûts dans les ZNI compensés au titre des charges de
Service public de l’énergie (SPE)
3. Enjeux pour les charges de SPE
• Du fait des spécificités des ZNI, le coût de production de l’électricité y est plus élevé qu’en
métropole (de l’ordre de 5 fois).
• Pour réduire ces coûts et les charges de SPE qui financent la péréquation tarifaire dans ces
territoires, la loi a ouvert la voie au financement d’ouvrages de stockage d’électricité pilotés
par le GRD, dans la limite des surcoûts de production qu’ils permettent d’éviter.
• A cet égard, la CRE développe actuellement la méthodologie d’examen des projets d’ouvrage
de stockage dans les ZNI :
– Consultation publique : fin novembre – début janvier
– Publication de la méthodologie : janvier/février 2017
• La méthodologie envisagée précise :
– les dispositions applicables en amont de l’examen du projet par la CRE ;
– les modalités d’évaluation des surcoûts de production évités par l’ouvrage de stockage ;
– le principe d’analyse du coût « normal et complet » de l’ouvrage, et de prise en compte
des subventions et recettes annexes ;
– le niveau et les modalités de compensation.
4. Dispositions applicables en amont de l’examen du projet
• Les services du stockage permettant la réduction des surcoûts de production sont multiples,
parmi lesquels :
– la fourniture de réserve de puissance ;
– le soutirage en heures creuses et l’injection en heures pleines.
• Les porteurs de projet seront informés en amont :
– des services ayant le plus de valeur en termes de surcoûts évités ;
– des prescriptions techniques applicables pour la fourniture de ces services (temps de
réaction, durée et fréquence d’appel, localisation etc.).
permet aux porteurs de projet de s’adapter aux besoins du système et, ainsi, de relever
le cap de compensation de leur projet.
• Par ailleurs, le gisement de surcoûts évités étant limité – notamment par le besoin du
système pour chacun des services considérés – il est envisagé :
– une saisine concomitante de l’ensemble des projets de stockage au titre d’une année ;
– l’étude prioritaire des projets les plus efficients en termes de surcoûts évités par euro
investi.
Réflexions des services
5. Surcoûts de production évités
• Les surcoûts de production évités par une installation de stockage sont obtenus par
différence entre :
– les surcoûts de production d’un premier parc construit pour assurer l’équilibre offre‐
demande (EOD) sans prise en compte des effets de l’installation de stockage
considérée ;
– les surcoûts de production d’un second parc construit pour assurer l’EOD en les
prenant en compte.
• Afin de tenir compte de l’ensemble de la valeur apportée par l’installation, il convient :
– d’arbitrer entre les différents services pouvant être fournis par l’installation afin
d’optimiser les surcoûts qu’elle permet d’éviter ;
– de tenir compte non seulement des coûts variables de production évités, mais aussi
des coûts fixes évités (grâce à d’éventuels reports d’investissements).
Réflexions des services
6. Coût « normal et complet » de l’ouvrage, subventions et
recettes annexes
• Le coût « normal et complet » (CNC) d’une installation comprend :
– ses coûts fixes, parmi lesquels :
• l’amortissement de l’investissement, linéaire sur la durée du contrat ;
• la rémunération du capital immobilisé à un taux compris dans la fourchette 6%–16%,
déterminé par la CRE sur le fondement de l’analyse de l’étude de risques fournie par le
porteur de projet ;
• les dépenses de gros entretien et renouvellement ;
• les coûts fixes d’exploitation.
– ses coûts variables, proportionnels au volume d’électricité soutiré ou injecté, parmi lesquels :
• le soutirage d’électricité au tarif réglementé ;
• la maintenance variable.
• Viennent en déduction du CNC :
– les subventions et financements tiers : la défiscalisation, les aides des collectivités
concernées et de l’ADEME, ou encore le financement par le TURPE ;
– les éventuelles recettes annexes perçues, par exemple pour la fourniture de services réseau.
Réflexions des services
7. Niveau et modalités de compensation
• La compensation – déterminée à partir du CNC net des subventions et recettes annexes – est
capée par les surcoûts de production évités.
• Elle est versée mensuellement à l’exploitant par le GRD et comprend :
– une part fixe, rémunérant la disponibilité de l’installation sur la base de ses coûts fixes ;
– une part variable, rémunérant l’énergie injectée ou soutirée sur la base des coûts variables ;
– des compensations complémentaires, couvrant les éventuels surcoûts de fonctionnement.
• Plusieurs mécanismes incitatifs seront prévus, afin de pousser le porteur de projet à faire ses
meilleurs efforts pour :
– maîtriser les CAPEX (partage des gains par rapport au montant prévisionnel) ;
– assurer la MSI de l’installation selon le calendrier prévisionnel ;
– assurer la disponibilité de l’installation (système de bonus/malus sur la base d’un objectif) ;
– maîtriser les OPEX (analyse quinquennale des coûts réels d’exploitation à partir de laquelle la
compensation pourra être ajustée).
• Par ailleurs, il convient de s’assurer ex post que le GRD a optimisé l’appel de l’installation compte
tenu des contraintes s’exerçant sur le système électrique.
Réflexions des services