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« Lillie Langtry » : différence entre les versions

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La liaison de Lillie avec le prince dure de la fin de l'année 1877 à juin 1880. La relation physique de Lillie avec le prince prend fin lorsqu'elle tombe enceinte. Le père est probablement son vieil ami Arthur Jones, qui l'accompagne à [[Paris]] pour la naissance de l'enfant, Jeanne Marie, en mars 1881<ref name=":1" />{{,}}<ref name=":3" />.
 
En juillet 1879, Lillie débuteentame une liaison avec le [[Charles Chetwynd-Talbot (20e comte de Shrewsbury)|comte de Shrewsbury]]. En janvier 1880, Lillie et le comte prévoient de s'enfuir ensemble<ref name=":3" />. À l'automne 1879, le journaliste à scandales Adolphus Rosenberg écrit dans ''Town Talk'' que des rumeurs circulent selon lesquelles son mari divorcerait d'elle et cite, entre autres, le prince de Galles comme codéfendeur. Rosenberg écrit également sur {{Lien|trad=Patsy_Cornwallis-West|fr=Patsy Cornwallis-West|texte=Patsy Cornwallis-West}}. Le mari de cette dernière le poursuit pour diffamation. Le prince de Galles charge son avocat George Lewis de le poursuivre également. Rosenberg plaide coupable aux deux chefs d'accusation et est condamné à deux ans de prison<ref>{{Ouvrage|langue=en|auteur1=John Juxon|titre=Lewis & Lewis|passage=179|lieu=London|éditeur=Collins|date=1983}}</ref>.
 
Pendant quelque temps, le prince voit peu Lillie. Il reste amoureux d'elle et la complimente dans sa carrière ultérieure d'actrice de théâtre. Il utilise son influence pour l'aider et l'encourager. Avec le retrait de la faveur royale, les créanciers se rapprochent de Lillie. Les finances des Langtry ne sont pas à la hauteur de leur train de vie. En octobre 1880, Lillie vend plusieurs de ses biens pour faire face à ses dettes, permettant à Edward Langtry d'éviter une déclaration de faillite.
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En 1889, Lillie rencontre « un jeune célibataire excentrique, avec de vastes domaines en Écosse, un grand haras d'élevage, une écurie de course, et tellement d'argent qu'il ne savait qu'en faire » : {{lien|lang=en|trad=George Alexander Baird}}, connu sous le nom Squire Abington. Il hérite de la richesse de son grand-père qui, avec sept de ses fils, prospère grâce aux travaux du charbon et du fer. Le père de Baird meurt quand il est encore un jeune garçon, lui laissant une fortune en [[fiducie]]. De plus, il hérite des biens de deux oncles riches morts sans enfant.
 
Lillie et Baird se rencontrent sur un [[hippodrome]] où celui-ci lui donne un pourboire et l'argent de la mise à placer sur un cheval. Le cheval gagne et, plus tard lors d'un déjeuner, Baird lui offre également un cheval nommé Milford. Elle hésite, mais d'autres personnes à la table lui conseillent d'accepter, car ce cheval est un bon coureur. Le cheval remporte plusieurs courses sous les couleurs de Lillie. Il est enregistré comme étant la propriété de « Mr Jersey » car les femmes sont exclues de l'enregistrement des chevaux à cette époque. Lillie débuteentame une relation avec Baird de 1891 jusqu'à sa mort en mars 1893<ref name=":1" />.
 
À la mort de Baird, Lillie achète deux de ses chevaux, Lady Rosebery et Studley Royal, lors de la vente de dispersion du domaine. Elle déménage sa formation dans les écuries de Sam Pickering à Kentford House et choisit Regal Lodge comme résidence dans le village de Kentford, près de [[Newmarket (Royaume-Uni)|Newmarket]] dans le [[Suffolk]]. Le bâtiment est tout près de l'établissement d'élevage de chevaux de course originaires de [[Baird (Texas)|Baird]], depuis rebaptisé Meddler Stud<ref name=":2" />.
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