« Lillie Langtry » : différence entre les versions
Contenu supprimé Contenu ajouté
m v2.04 - Homonymies : Correction de 1 lien - Conservatoire de Paris (homonymie), reste 1 à corriger - HMS Inconstant / Correction syntaxique (Lien interne vers un article d’une autre langue) |
|||
Ligne 66 :
Un soir où elle sortie, [[Oscar Wilde]], dans un geste théâtral qui correspond à l'idée qu'il se fait de la vie artistique, décide de dormir sur le pas de sa porte. Edward Langtry ivre « met fin à ses rêves poétiques en trébuchant sur lui »<ref name=":0" />. Les attentions marquées d'Oscar l'amusent la plupart du temps, mais elle finit par s'en agacer : « bien que Wilde ait un sens aigu du ridicule, il le frôle parfois inconsciemment lui-même »<ref name=":0" />. Lillie peut parfois se montrer blessante. Un soir, alors qu'elle est assise dans sa loge au théâtre, elle remarque une agitation dans les parterres et voit [[Oscar Wilde|Oscar]] en sortir en larmes, accompagné par [[Frank Miles]] : il a été blessé par sa dernière « remarque franche » et ne peut supporter son regard<ref>{{Ouvrage|langue=en|auteur1=Fanny Moyle|titre=Constance, The tragic and scandalous life of Mrs. Oscar Wilde|lieu=New-York|éditeur=Pegasus Books|date=2012}}</ref>.
En 1892, [[Oscar Wilde]] écrit le rôle principal de Mme Erlynne dans ''[[L'Éventail de Lady Windermere|Lady Windermere's Fan]]'' pour Lillie Langry. Mme Erlynne est une femme entre deux âges d'une grande beauté, réputée amorale, ayant abandonné sa fille à la naissance. Lillie décline le rôle : « Mon cher Oscar, suis-je assez vieille pour avoir une fille adulte ? ». [[Oscar
=== William Ewart Gladstone ===
|