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« Jethro Tull (groupe) » : différence entre les versions

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{{nobr|L’année 1972}} voit aussi la sortie de ''[[Living In The Past]]'', une compilation en double album de singles, de faces B, et de prises inédites, avec une face d'enregistrements en concert, dont la fabuleuse version live de ''Dharma for One''. Ce disque est considéré par la plupart des fans de Jethro Tull comme étant le meilleur.
 
En [[1973]], le groupe tente d'enregistrer un double album, mais il est apparemment insatisfait de la qualité de l'enregistrement studio et abandonne le projet. À la place, ils enregistrent rapidement et sortent ''[[A Passion Play]]'', autre album-concept constitué d'une unique suite de chansons aux textes très allégoriques. La suite ''Passion Play'' sera coupée à la fin de la face A par une comptine comme seul Jethro Tull en a le secret, « The story of the hare who lost his spectacles », ou l'histoire loufoque d'un lièvre ayant perdu ses lunettes. Cette pièce a d'ailleurs donné lieu à un mini-film narré par le bassiste Jeffrey Hammond qui joue un personnage qui se situerait quelque part entre un membre du Monty Python et le diable avec ses petites cornes et sa barbiche. Après plusieurs années de popularité continue pour le groupe, ''A Passion Play'' est sévèrement reçu par la critique. C'est un tournant pour le groupe, qui a désormais son apogée derrière lui.
 
Le groupe enregistre au [[château d'Hérouville]] un album qui ne sortira que bien plus tard, dans les années 1990, comme premier CD du double album ''Nightcap''. L'album ''[[War Child (album)|War Child]]'' de [[1974]] reçoit toutefois des critiques positives, et ''Bungle in the Jungle'' est un succès (pour la petite histoire, c'est l'album préféré de [[Ritchie Blackmore]]).