Il tirait son nom « de la neige qui blanchit la terre de décembre en janvier », selon les termes du rapport présenté à la Convention nationale le 3 brumaire an II () par Fabre d'Églantine, au nom de la « commission chargée de la confection du calendrier » (du latin nix, nivis « neige »[1]).
Le décret du 4 frimaire an II () « sur l'ère, le commencement et l'organisation de l'année, et sur les noms des jours et des mois » orthographiait le nom du mois nivose, sans accent circonflexe. L'ajout généralisé de cet accent s'est installé progressivement, à une époque ultérieure indéterminée. On rencontre d'ailleurs des milliers d'actes ou documents officiels de l'époque ne faisant pas encore usage de cet accent.