Si la colère t’a fait crier, si tu t’es enflammé violemment 

c’est que tu avais sans doute le cœur brisé

Si la souffrance t’a fait pleurer, c’est que tu as gardé au fond de toi cette tristesse qui t’a fait te sentir si mal, ta douleur est difficile à supporter ? 

Je veux savoir ...dis-moi je te prie... car ton attitude devient  insupportable !

Qu’est-ce qui t’arrive? tu es méconnaissable ... qu’as-tu?
Ça n'est souvent pas grand chose d’exprimer ses émotions mais ça devient si alarmant des peines qu’on s’afflige soi-même et aux autres en ne sachant pas se contenir...

Allez savoir, allez donc savoir pourquoi c’est nécessaire d’avoir le cœur d’un enfant pour pardonner... et persévérer même quand il y’a des zones d’ombres dans notre esprit...

Parce que l’enfant ne se pose pas de questions et se soumet plus facilement...
Deux ou trois mots d'amour suffisent pour soulager le cœur d’un enfant ...

Prendre un enfant par la main
À la croisée des chemins
Prendre un enfant par le bras pour lui redonner la confiance en son pas
Prendre un enfant par le cœur pour lui donner un peu de bonheur
Prendre un enfant dans ses bras pour soulager ses malheurs...

Le coeur d'un enfant c'est grand.
L'amour s'y déverse en cascade ♥️

Chers amis, votre relation avec Christ doit progresser, augmenter, avancer pour que vos pensées, rêves, idées, vies sociales, spirituelles et financières soient protégés par Lui.

Ceux qui marchent avec Dieu sont si souvent attaqués  et le monde est contre eux;

Heureusement, le parapluie de Christ sert de couverture ...

Voyez-vous: « Lorsqu'on s'apprête à sortir et que le temps est assez menacant, on prend toujours son parapluie avant de sortir. Le parapluie sert à nous protéger de la pluie, pour éviter que nos affaires et nous-même soyons mouillés. Elle subit elle même ce que nous devons normalement subir.

Avez-vous un parapluie chers amis ?

Dans le royaume de Dieu, il existe aussi un parapluie.
Un parapluie donné à tous ceux qui vivent selon les normes du royaume de Dieu ... mais ceux qui n'ont pas de parapluie subissent le mauvais temps et courent dans tous les sens pour trouver un refuge.

Ceux qui vivent en Dieu reçoivent le parapluie de Christ.

La gloire de Dieu les couvrent lorsque l'ennemi veut les attaquer.
Que ce soit spirituellement, physiquement, mentalement, socialement et même financièrement.

Croyez-moi, le temps dehors est mauvais (la situation du monde), voulez-vous accepter d’être sous le parapluie de Dieu pour le restant de vos jours ?

C’est parfois difficile de vivre comme chrétien quand cela veut dire qu’on est différent des autres. Pourtant, l’heure est grave !

Accepte Christ dans ta vie et tu seras en sûreté sous le parapluie divin ♥️

L’apôtre Paul nous exhorte en Colossians 4:2-5 à la prière, à la sagesse et aux actions de grâces.

La prière suppose la communion avec Dieu, en même temps qu’elle entretient aussi cette communion; on s’approche avec joie de lui, pour lui exposer les besoins de notre âme. Cela suppose encore un esprit de dépendance; on sait que c’est de lui seul qu’on a à attendre et qu’on peut attendre toutes choses...

L’âme vient avec confiance à ce Dieu plein d’amour qui a bien voulu entrer en relation avec nous. Lorsqu’on lui parle comme l’enfant à son Père ; Il répond, et de là naissent les actions de grâces...

Communion, proximité de Dieu, dépendance et confiance, voilà ce qui caractérise la vraie prière.

Nos besoins sont constants, le mal nous entoure, l’ennemi est toujours là, quel motif pour persévérer dans la prière, pour ne point nous dessaisir de cette arme, puissante justement parce qu’étant le signe et la confession de notre faiblesse, elle fait appel à Dieu. Ainsi, Pierre exhorte à veiller et prier (1 Pierre 4:7).

La sentinelle veille pour ne pas se laisser surprendre; le danger est-il là, elle s’écrie pour que le secours vienne. Tel est le chrétien. Si nous veillons en priant, si nous sommes éveillés de cœur et d’esprit en présentant nos requêtes, nous saurons ce que nous avons à dire, et ce que nous disons; nos prières seront de vraies demandes et non des formules plus ou moins exactement récitées, ni non plus des expositions de doctrines ou des répétitions banales. Nous parlerons vraiment à Dieu.

Mais à la prière persévérante, ils joignent les actions de grâces. En effet, on sait que Dieu exauce et n’abandonne pas les siens qui prient; on a éprouvé et l’on éprouve qu’il répond aux prières, et on a le cœur rempli d’actions de grâces pour tout ce qu’il a fait et fait encore pour nous.

Nos prières ne doivent pas se borner à ce qui concerne nos besoins particuliers. Le cœur s’élargit en pensant aux besoins des autres et en les présentant à Dieu. Et ce qui doit attirer spécialement nos cœurs, ce sont les ouvriers du Seigneur dans l’accomplissement de leur tâche difficile, soit au milieu d’un monde ennemi, soit dans les assemblées. L’apôtre Paul sentait vivement combien lui était nécessaire cette collaboration et ce combat des saints pour lui par leurs prières. Maintes fois, il les demande et compte sur elles. Et n’en est-il pas de même maintenant des serviteurs de Dieu? Oui, nous avons à nous souvenir d’eux et de l’œuvre qu’ils accomplissent, soit en notre particulier, soit dans les réunions de prières.

«Notre capacité vient de Dieu» (2 Cor. 3:5); nous n’avons à nous glorifier de rien, et si Paul désirait ardemment les prières des saints, combien plus encore ceux qui maintenant, dans une grande faiblesse, sont appelés à travailler dans l’œuvre du Seigneur . Notre conduite vis-à-vis des païens, ce sont ceux qui n’ont point la vie de Dieu. Le monde est hostile ouvertement ou non à la vérité et à ceux qui la professent; Le monde a les yeux sur ceux de dedans, afin de les trouver en faute, si possible. Il s’agit donc pour les chrétiens de se conduire avec sagesse envers ceux de dehors, pour ôter toute occasion de mal parler d’eux, même dans des choses qui sembleraient indifférentes (voyez 1 Pierre 4:14-16). La sagesse est prudente et vigilante, elle discerne ce qui convient ou non, elle ne se précipite point; le chrétien doit la posséder, cette vraie sagesse, puisqu’il a la vie de Dieu et qu’il est conduit par l’Esprit Saint. Ici, il s’agit de l’appliquer à sa marche au milieu du monde. Elle ne consiste pas à bien faire ses affaires, à réussir ici-bas, comme on dit: cela, c’est la sagesse du monde. Elle consiste à marcher constamment selon Dieu et avec Dieu.

Mais elle n’exclut pas l’amour envers ceux de dehors. Au contraire, en évitant de donner occasion de blâmer sa conduite, le chrétien est d’autant plus propre à manifester cet amour envers ceux qui ne connaissent pas Dieu. Une marche sans sagesse dans ses transactions avec le monde, une marche dans laquelle il y aurait à reprendre, lui fermerait la porte auprès de ceux à qui il voudrait faire connaître la grâce de Dieu, et il n’aurait pas la liberté de le faire. Mais s’il marche dans la sagesse, le cœur rempli de cet amour de Christ qui a pour objet le salut des âmes ainsi que la gloire de Dieu, il saisira l’occasion là où elle se présente, et toutes les fois qu’elle se présente, pour inviter les autres à venir au Seigneur afin de jouir de sa grâce. Qu’elle est belle et agréable au Seigneur, cette marche d’un chrétien sage, qui poursuit toujours «ce qui est bon», soit au milieu des fidèles, soit «à l’égard de tous les hommes»! (1 Thess. 5:15).

Nous devons savoir comment répondre aux personnes autour de nous car notre vie extérieure, celle que le monde voit, se compose d’actes et de paroles, qui devraient toujours être l’expression de notre vie en Christ  et rendre témoignage qu’elle se passe dans la communion de Dieu. Ici, il s’agit de notre parole, de ce qui sort de notre bouche. Elle doit être «dans un esprit de grâce».

La grâce dont le chrétien a été l’objet et qui remplit son cœur, ou du moins qui devrait toujours le remplir, se montrera dans ses paroles, empreintes de douceur et de bonté, communiquant la grâce divine, et propres à attirer les cœurs vers Celui qui en est la source.

La grâce est patiente, la grâce console, la grâce relève le cœur abattu et l’encourage; tels seront les effets bénis de la parole du chrétien. Nous serons ainsi les imitateurs de Celui duquel il est dit: «La grâce est répandue sur tes lèvres» (Ps. 45:3), de Celui aux paroles de grâce de qui ses auditeurs rendaient témoignage (Luc 4:22).

Mais la douceur de la grâce n’exclut pas la saveur de la sainteté et de la vérité divine; elle doit être accompagnée de cette énergie qui juge le mal et s’en sépare totalement.

Si notre âme est en la présence de Dieu, elle goûte sa grâce et elle la communique dans ses paroles; mais cette même présence nous éloigne du mal qu’elle nous fait discerner, et notre parole sérieuse peut être parfois sévère et indignée, ne transigeant pas avec le mal, ne l’atténuant pas, et faisant sentir aussi aux autres l’effet de la présence de Dieu et de la sainteté qui lui convient.
; on peut répondre à chacun selon les besoins qui lui sont propres. Combien n’en rencontrons-nous pas chaque jour qui ont des besoins du cœur et des afflictions , qui sont égarés dans de mauvaises voies,abattes et découragées , les états d’âme sont extrêmement différents.

La même parole ne peut pas convenir à chacun, bien qu’elle doive toujours sortir du même fond d’amour. La sagesse divine doit nous éclairer pour parler à propos, et cette sagesse ne manque pas à qui vit avec Dieu. Notre parfait modèle nous avons sous ce rapport est Jésus-Christ !

Quelqu’un a dit à ce sujet: «Le chapitre 15 de Matthieu m’a frappé par la manière dont il fait ressortir cette perfection sous des aspects divers de beauté et d’excellence. Le Seigneur y est appelé à répondre tour à tour aux pharisiens, aux foules, à la pauvre Syrophénicienne affligée et à ses propres disciples, selon qu’ils manifestent leur ignorance ou leur égoïsme; et nous pouvons remarquer la différence qu’il y a dans le caractère de sa réprimande ou de son raisonnement, dans la manière dont il enseigne avec patience, ou dont il cherche à nourrir une âme avec sagesse et avec grâce...

“ Magnifique en Sainteté et Digne de louanges, opérant des prodiges”

Ce cantique; c’est celui dont , Moïse et les enfants d’Israël chantèrent lorsque Dieu fît éclater sa gloire devant eux en ouvrant la mer en deux et en y précipitant le cheval et le cavalier.

De même, ce qui m’a toujours réjouis dans ce texte de Exode 15 ; c’est la fin de l’histoire quand Miriam inspirée par Dieu entraine les autres femmes à chanter avec elle un chant de victoire...

Mighty Lord!

Miriam est la sœur de Moïse et son histoire est spéciale car on peut en tirer des leçons de vie...

- Miriam a protéger son frère des eaux quand elle était encore petite 

- Elle a osé prendre la parole et défendre la loi qui ne permettait pas aux Israélites de prendre des femmes étrangères même si hélas s’en est fallu de peu pour qu’elle soit bannît du camp pour toujours parce que ayant parlé mal sur l’Oint du Seigneur 

- Miriam a rejeté l’amertume et la jalousie causée par l’épouse de Moïse

- Elle a accepté la correction de Dieu avec humilité car quand Dieu l’a corrigé après s’être pris à son Oint en murmures, grâce à sa foi Miriam est restée humble 

Merveilleux n’est-ce pas!

Et finalement, Miriam a chanté sous inspiration de Dieu avec joie :

” Chantez à l’Eternel , car il a fait éclater sa gloire; il a précipité dans la mer le cheval et son cavalier”  Alléluia ♥️

Dieu fait une chose nouvelle qui grandit déjà...

Cette chose nouvelle c’est de répandre sur nous le souffle de son Esprit-Saint afin que l’on puisse marcher dans la vérité et selon sa volonté.

Notre responsabilité est donc de prier pour qu’il nous accorde :

• Sa vérité, nous devons exprimer le besoin et le désir de grandir dans l’attachement à Dieu. Jésus nous dit qu’il est le chemin, la vérité et la vie (Jean 14.6); Demander à Dieu de nous accorder davantage de lui-même est la prière la plus sage que nous puissions jamais lui adresser.

• Sa justice, ayons le discernement et la sagesse dans des situations confuses.
  Souvent, quand tout va bien dans nos vies, nous oublions que nous nous sommes engagés à vivre dans une relation personnelle avec Jésus. Puisse Dieu nous rappeller les principes d’une vie juste et pieuse pour que nous ne l’oublions pas. Lorsque nous prions pour la justice, nous demandons à Dieu de nous faire grandir toujours plus à sa ressemblance...

Dieu nous invite à revêtir son armure dont les deux premiers éléments sont la vérité et la justice.

(Ephésiens 6:10-18)

Kathryn Kuhlman est née le 9 mai 1907 au Concorde, dans le Missouri (États Unis), de parents allemands, Joseph Adolph et Emma Walkenhorst Kuhlman. Elle est issue d'une famille de quatre enfants : Myrtle, Earl, Kathryn et Geneva. Kuhlman se convertit en 1921 dans une réunion de réveil d'une église méthodiste, dirigée par un évangéliste baptiste, le Révérend Hummel.

Au début de son ministère, Kuhlman était seulement évangéliste et limitait ses prédications au message du salut.

A Franklin, elle prêcha quelques fois sur la guérison et fit des appels non seulement pour que les gens s'engagent avec Jésus-Christ, mais aussi pour être guéris.

Surprise par les guérisons qui avaient lieu parfois, Kuhlman commença à rechercher ces manifestations de la puissance de Dieu de manière approfondie.

En 1947, elle prêcha ses premiers messages sur le Saint-Esprit. A la première réunion, une femme fut guérie d'une tumeur en écoutant sa prédication. Plus tard, un homme fut aussi guéri de la même manière. Ces évènements ont marqué le début du ministère de guérison de Kuhlman...

Pendant qu'elle encourageait les gens à rechercher les dons du Saint-Esprit et le parler en langues, elle restait discrète sur sa carrière et son expérience personnelle.
Les problèmes de santé de Kuhlman (des problèmes au coeur) furent d'abord diagnostiqués en 1955, mais devinrent plues sévères dans les dernières années de sa vie.
La santé de Kuhlman déclina dramatiquement en 1975. Elle fut hospitalisée à Tulsa pendant l'été et à Los Angeles vers la fin de la même année.

Kuhlman mourut le 20 février 1976 à Tulsa, après une opération à coeur ouvert.

“ I BELIEVE IN MIRACLES “. IF YOU BELIEVE, YOU CAN RECEIVE 

Mum Kathryn Rest In Peace ♥️

“ Cherches dans ton souvenir quel est l’innocent qui a périt “

Ô Père,
Tu protège le juste contre les hommes rusés... contre leurs menaces
Père ,
Tu relève les humbles et délivre les affligés

Ô Père,
Tu veille en ami sur tes élus ...
J’aurai recours à toi en tout temps et à
Toi j’exposerai ma cause car lorsque les justes crient,
Tu entends et les délivre de toutes leurs détresses.

Père,
je soupire
je gémis dans l’âme
ils m’insultent, m’outragent , me persécutent
alors que je suis innocente...

Père,
Defends ma cause
Defends mon droit

Ô Père,
lorsque les fondements sont renversés, le juste que ferait-il?
Ces hommes là fondent sur moi comme une tempête,
ils me maltraitent, me méprisent sans cesse...
Pourtant,
je garde le silence mais ils persistent...
Qu’importe après tout !
Si les ténèbres sont là, peut-être bien que la lumière est proche...
Alors,
je demeurerai ferme dans tes voies...
et me fortifierai de plus en plus en Toi

Ô Père,
là où je me tiens devant Toi dans l’assemblée des saints;
je reconnais que je ne suis rien sans Toi
alors Père laisse-moi crier jusqu’à Toi

Mon Seigneur!
Toi Seul est ma Force !
Toi Seul est digne de ma reconnaissance
Tu est Merveilleux , sans Pareil, insondable
Tu es mon Consolateur

Père, c’est ce que Tu es !
Glorieux, Majestueux, Admirable
C’est ce que Tu es Abba

Ô Père,
Tendre Père,
je ferai toujours de bon cœur ta volonté
ô yes Père!
je te servirai avec empressement dans l’assemblée au milieu des hommes méchants comme te servant et non ces hommes là

ô yes Père!
Tu as déjà fait dans ma vie des merveilles sans nombre
alors je sais que Tu m’exauceras si je reste fidèle à ta parole
Alors,
je t’obeirai encore et encore
Mon Seigneur ❤️

“ Voici mon Cœur plein d’amour, puissez dans ce trésor un feu ardent 

Je suis doux et humble de cœur “ dixit Jésus-Christ ❤️

Église de Jésus-Christ, lève-toi et resplendit!

Que des choses qui échappent à notre compréhension humaine se manifestent de la part de Dieu 

au milieu de nous...

*Ephesiens10:3* “afin que les dominations et les autorités dans les lieux célestes connaissent aujourd’hui par l’Eglise la sagesse infiniment variée de Dieu

*Jean2:8*”Puissez et apportez à l’ordonnateur du repas”

*Dieu* : Créateur de toutes choses (Maître d’œuvre)
*Jésus-Christ:* Le Sauveur de l’humanité (Maître d’ouvrage) a qui le Père a confié la conception de son grand projet “sauver l’humanité “

*L’ouvrage*: l’Eglise , les chrétiens, chaque croyant

*Un ordonnateur*: Quelqu’un qui dispose, met en ordre

Selon Jean 2:8 on puisse et apporte à l’ordonnateur révèle la mission des ouvriers de Christ que nous sommes: puiser en Christ qui vit en nous la source de toute joie , source de notre espérance la force, le courage, le feu , la puissance, l’autorité pour dominer et vaincre comme Jésus-Christ a vaincu et vaincra encore à travers nous!

Tel que Jésus-Christ a fait son entrée dans le monde comme sauveur de l’humanité en donnant instruction aux personnes qui devaient servir de puiser et apporter à l’ordonnateur du repas ; on peut aisément grâce à Dieu faire le parallèle avec ce même Jésus-Christ qui aujourd’hui nous demande de nous lever et agir car nous ceux par qui la réalisation du dessein de Dieu pour l’humanité doit s’accomplir.

Pourquoi ordonnateur du repas?
Voyons l’image de Apocalypse 19:9 “ heureux ceux qui sont appelés aux noces de l’Agneau “

Cette église que Dieu est entrain de bâtir; c’est nous alors soyons victorieux car le Dieu glorieux et puissant est en nous; le Royaume de Dieu va de l’avant

Alléluia

TOUS ENSEMBLE POUR LE RÉVEIL SPIRITUEL DES NATIONS

Que n’as tu pas fait pour moi?

Que serai-je sans toi ?

Jesus mes mains se lèvent vers toi

Devant toi je me prosterne 

Toi seul est digne de ma reconnaissance 

Mes forces m’ont quitté 

amis et famille m’ont tourné le dos 

Tu as toujours été là jamais ne m’as trahi...

Quand je pense à ma vie:l’ouvrage de tes mains

Quand je pense à l’histoire de ma vie que tu écris 

Quand je pense à la manière à laquelle tu me fais récupérer tout ce que le diable m’a volé 

Les mots me manque pour te louer, pour t’adorer ô Jésus!

Auteur: Joseph MOUSSIO